mardi 12 février 2013

IMPOSITION DES CENDRES


Cite du Vatican, 12 février 2013 (VIS). Demain à 17 h, Benoît XVI célébrera le rite des cendres et célébrera la messe en la Basilique vaticane, et non comme à l'habitude en la Basilique Ste.Sabine. Le Directeur de la Salle de Presse a précisé que cette disposition tend à accueillir une assistance nombreuse, étant donné qu'il s'agira de la dernière cérémonie liturgique du Saint-Père. Pour la même raison, la rencontre annuelle avec le clergé de Rome se déroulera Salle Paul VI le 14. Le thème retenu cette année à la demande des prêtres sera le Concile Vatican II. Il a enfin confirmé que le 27 Benoît XVI tiendra sa dernière audience générale, probablement sur la Place St.Pierre. Le P.Lombardi a par ailleurs déclaré devant la presse que le Saint-Père se porte bien et qu'il est serein. "Il n'a pas renoncé au pontificat à cause de la maladie mais à cause des faiblesses qu'entraîne l'âge". Il a par ailleurs confirmé que Benoît XVI a récemment été soumis à une intervention de routine ayant consisté dans la substitution de la pile de son pacemaker, "ce qui n'a eu aucun effet sur la décision prise. Pas plus que la fatigue du voyage à Cuba et au Mexique en aurait été la motivation. Même si cela peut avoir favorisé sa prise de décision". Le Directeur de la Salle de Presse a également confirmé que le programme du Pape reste inchangé jusqu'au 28 février: audiences à des groupes d'évêques italiens, visites des présidents roumain et guatémaltèque. N'étant pas prête, l'encyclique sur la foi ne sera pas publiée.

DECLARATION DU CARDINAL DZIWISZ

Cite du Vatican, 12 février 2013 (VIS). Après l'annonce de Benoît XVI, le Cardinal Stanislaw Dziwisz, Archevêque de Cracovie (Pologne) a déclaré "accueillir avec grande émotion et respect sa renonciation au gouvernement de l'Eglise et d'en remettre le sort au Sacré Collège. J'en comprends les motifs. Après la disparition de Jean-Paul II, Benoît XVI a guidé l'Eglise du Christ avec soin et sagesse, grâce à sa grande compétence intellectuelle et à sa foi profonde. Je lui rend grâce de ses efforts pour conduire la rénovation de l'Eglise dans la fidélité au Seigneur. Avec les évêques de Pologne, je l'assure de notre gratitude pour son exceptionnelle amitié envers le peuple polonais, pour son amitié avec Jean-Paul II et pour avoir béatifié son prédécesseur. Je lui serait personnellement toujours reconnaissant de tout ce que j'ai reçu de lui, et l'Eglise de Cracovie restera à jamais fidèle à Benoît XVI. Dans la gratitude et la fidélité, nous prierons pour lui, en confiant le Pierre d'aujourd'hui à l'Esprit saint et à Notre Dame de Lourdes que nous fêtons en ce jour".

PROCHAINES CANONISATIONS


Cite du Vatican, 11 février 2013 (VIS). A 11 heures s'est tenu sous la présidence du Saint-Père le consistoire ordinaire public pour approuver les causes de canonisation de:
Antonio Primaldo et de ses compagnons martyrs, de Laura de Santa Catalina de Siena Montoya y Upegui, religieuse fondatrice des Missionnaires de Marie immaculée et de Ste.Catherine de Sienne, et de María Guadalupe García Zavala, religieuse cofondatrice des Servantes de Ste.Marguerite-Marie et des pauvres. La messe de canonisation est fixée au dimanche 12 mai prochain.

DIEU APPRECIE LA FOI DES ELUS

Cité du Vatican, 19 février 2013 (VIS). La méditation dominicale du Saint-Père, avant l'angélus, a été consacrée à l'appel des premiers disciples selon le récit de Luc. Cet appel, a souligné Benoît XVI, "a été précédée par l'enseignement de Jésus à la foule et la pêche miraculeuse". Alors que celle-ci couvrait les berges du lac pour l'écouter, Jésus vit la déception de Pierre qui n'avait rien pris de toute la nuit et lui demande de monter à bord de sa barque. Il lui ordonna de partir au large avec ses amis et de jeter les filets. Ainsi pêchèrent-ils une incroyable quantité de poissons. "Ainsi l'Evangéliste fait voir comment les disciples suivirent Jésus à qui ils avaient fait confiance". Croire en la Parole, "telle est la pédagogie de l'appel divin, qui ne tend pas tant à la qualité qu'à la foi des élus, comme dans le cas de Pierre... L'image de la pêche nous ramène à la mission de l'Eglise... Quoique exceptionnelle, l'expérience de Pierre est typique de l'appel évangélique de chaque apôtre, qui ne doit jamais se décourager dans l'annonce du Christ à l'humanité et jusqu'aux extrémités de la terre. Mais le texte d'aujourd'hui nous pousse à réfléchir sur la vocation au sacerdoce et à la vie consacrée. Elle est oeuvre de Dieu car l'homme n'est pas l'auteur d'un appel divin auquel il répond. Les faiblesses humaines ne doivent pas faire peur si Dieu appelle. Il faut avoir confiance dans une force qui agit dans notre pauvreté. Il faut donc avoir une confiance renforcée dans une miséricorde qui transforme et rénove. Cette parole de Dieu ravive en nous et dans nos communautés le courage, la confiance et l'élan d'annoncer et de témoigner de l'Evangile. Les insuccès et les difficultés ne doivent pas conduire au découragement. C'est à nous qu'il revient aujourd'hui de lancer les filets de la foi. Le Seigneur fera le reste".

Après la prière mariale, le Pape a évoqué le nouvel an lunaire et souhaité aux peuples d'Extrême Orient "paix, harmonie et grâce céleste, des valeurs universelles. Elles sont désirées par chacun pour bâtir sa famille et la société. J'espère que ces biens se réalisent pour tous ces peuples qui aspirent à une vie heureuse et prospère. J'adresse un salut particulier aux catholiques afin que l'Année de la foi les conduisent vers la sagesse du Christ. Demain, fête de Notre Dame de Lourdes, la célébration solennelle de la Journée mondiale du malade se déroulera au sanctuaire mariale d'Altötting en Bavière. Je suis proche par la prière et la pensée à tous les malades, auquel je m'unis spirituellement dans un sanctuaire cher à mon coeur".

VISITE AU GRAND SEMINAIRE DE ROME

Cite du Vatican, 9 février 2013 (VIS). Hier en fin d'après-midi, le Pape s'est rendu au grand séminaire de Rome pour les premières vêpres de la fête patronale de la Vierge de la confiance. Il a ensuite fait une Lectio Magistralis aux séminaristes de cet institut, auxquels s'étaient joints leurs confrères du Collège Capranica, du collège diocésain Redemptoris Mater et du du séminaire du Divin Amour. En voici les passages principaux: Commentant la première épître de Pierre, Benoît XVI y voit pratiquement une première encyclique, "dans laquelle le vicaire du Christ parle à l'Eglise de toujours... Il n'écrit pas de manière isolée mais est assisté par l'Eglise, par les personnes qui l'aident à approfondir sa foi et sa pensée... Ceci est très important car Pierre n'écrit pas comme sujet privé mais Ex Persona Ecclesiae, comme un homme d'Eglise investi d'une responsabilité et qui parle au nom de l'Eglise" et en communion avec elle. "Il est tout aussi important que soient cités en fin de cette lettre Sylvain et Marc, du groupe des amis de Paul. Les approches de Pierre et de Paul se rencontrent en eux. Il ne s'agit pas d'une théologie strictement pétrinienne s'opposant à une paulinienne, mais de la théologie de l'Eglise, de la foi de l'Eglise dans sa diversité de tempérament, de pensée et de style... Ces différences sont positives, comme il est bon aujourd'hui qu'il y ait une variété de charismes et d'approches, non en conflit mais unis dans la même foi".

"Pierre écrit de Rome. C'est important car cela montre que Rome a un évêque, d'où découle le primat attaché à ce siège, choisi par le Seigneur car la ville était la capitale du monde... Après avoir échappé à la prison d'Hérode...Pierre confia l'Eglise judéo-chrétienne de Jérusalem à Jacques pour prendre en charge l'Eglise des gentils, l'Eglise universelle... Il savait qu'il finirait martyr... Et pourtant il n'hésita pas à aller à Rome", porteuse d'universalité et d'une charge martyrologique... Si la croix peut prendre différentes formes, le chrétien ne peut que suivre le Crucifié en acceptant la perspective du martyre. Pierre définit ses lecteurs des étrangers dispersés... Ici encore apparaît le paradoxe de la gloire et de la croix. Ces élus sont étrangers et dispersés. Nous sommes tous élus car Dieu nous connaît de tout temps, dès avant que nous venions au monde. Il nous choisit comme chrétiens, catholiques, prêtres...et nous lui répondons. Reconnaître que Dieu nous a choisis n'est pas triomphalisme mais gratitude... De même être élus va de pair avec le statut d'étrangers et de dispersés. Les chrétiens sont l'un et l'autre, et nous voyons chaque jour qu'ils appartiennent à la catégorie sociale la plus persécutée...à cause de leur non conformisme, de leur rejet de l'égoïsme et du matérialisme. Mais les chrétiens ne sont pas simplement des étrangers. Nous appartenons à des peuples chrétiens et sommes fiers d'avoir contribué à la création d'une grande culture... Mais les chrétiens sont de plus en plus des étrangers dans la société", une minorité parfois. "Il fait partie de notre être chrétien de se sentir étrangers... Nous tentons de vivre selon la Parole, tout en respectant ce que les autres pensent. Ce respect nous caractérise".

Puis il a évoqué trois termes: régénérés, héritage et protégés par la fois. Régénéré, qui s'étend à l'être tout entier, ne dépend pas de ma seule volonté. C'est une action de Dieu, qui m'aide à me transformer, à renaître, à entrer aussi dans une famille nouvelle, Dieu comme Père, l'Eglise comme Mère, les baptisés comme frères et soeurs. Ensuite, "nous sommes des héritiers, non d'un pays déterminé mais de la terre de Dieu, de l'avenir de Dieu...ce qui veut dire que, comme chrétiens, nous avons un avenir... Comme chrétiens nous savons que cet avenir est l'arbre de l'Eglise. Il n'est pas moribond mais croît en permanence, et nous n'avons aucun motif pour être inquiets", d'écouter les prophètes de malheur dont parlait Jean XXIII, pour qui l'Eglise née d'un grain de moutarde devait maintenant mourir après deux mille ans de croissance. Comme il existe un faux optimisme, il existe un faux pessimisme, celui qui voudrait que le christianisme soit terminé. Non, c'est un nouveau départ qui se présente. Il y eut un faux optimisme après le Concile, celui de croire bon que couvents et séminaires se vident. Non, ce n'était pas bon, c'était un phénomène grave et dangereux...et il faut en être conscients, sans équivoque. Soyons en conscients, si l'Eglise meurt des péchés des hommes, à cause de leur incrédulité, elle renaît aussi. Enfin, être protégés par la foi. Oui, la foi est comme une sentinelle qui préserve notre intégrité...et nous devons lui en être reconnaissants. La foi nous protège et nous aide, nous guide et nous offre sécurité. Dieu ne nous abandonne jamais".

AUDIENCE A L'ORDRE DE MALTE


Cite du Vatican, 9 février 2013 (VIS). Ce matin en la Basilique vaticane, Benoît XVI a accueilli l'Ordre souverain et militaire de Malte, qui fête ses neuf siècles d'existence. C'est par un privilège du 15 février 1113 que Pascal II reconnut la fraternité hospitalière de Jérusalem, intitulée à St.Jean-Baptiste et placée sous la protection de l'Eglise. Il s'agit d'un ordre de droit ecclésiastique jouissant du privilège d'élire librement ses supérieurs. Après avoir salué par le Grand Maître Fra Matthew Festing et le Cardinal Patron Paolo Sardi, qu'il a remercié d'un don pour ses oeuvres caritatives, le Saint-Père a prononcé le discours dont voici la partie centrale:

"Cet important anniversaire revêt une signification spéciale dans le contexte de l’Année de la foi durant laquelle l’Eglise est appelée à renouveler la joie et l’engagement à croire en Jésus-Christ, unique Sauveur du monde. A cet égard, vous êtes appelés, vous-aussi, à accueillir ce temps de grâce pour mieux connaître le Seigneur et pour faire resplendir la vérité et la beauté de la foi par le témoignage de votre vie et de votre service dans l’aujourd’hui de notre temps. Votre Ordre, depuis sa fondation, s’est distingué par sa fidélité à l’Eglise et au Successeur de Pierre tout comme par sa physionomie spirituelle constitutive, caractérisée par un idéal religieux élevé. Continuez à cheminer sur cette voie en témoignant de façon concrète de la force transformante de la foi. En raison de la foi, les Apôtres abandonnèrent tout pour suivre Jésus et allèrent ensuite par le monde entier, obéissant ainsi au commandement qu’ils avaient reçu d’annoncer l’Evangile à toute créature, sans aucune crainte ils annoncèrent à tous la force de la croix et la joie de la résurrection du Christ dont ils furent les témoins directs. En raison de la foi les martyrs donnèrent leur vie, montrant la vérité de l’Evangile qui les avait transformés et rendus capables d’aller jusqu’au don suprême, fruit de l’amour, en pardonnant à leurs persécuteurs. En raison de la foi aussi, au cours des siècles, les membres de votre Ordre se sont consacrés d’abord à l’assistance des malades à Jérusalem puis à secourir les pèlerins de Terre Sainte exposés à de graves dangers, en écrivant des pages lumineuses de charité chrétienne et de défense de la chrétienté. Au XIX siècle, l’Ordre s’ouvrit à des champs d’activités plus vastes dans le domaine de l’assistance et dans celui du service des malades et des pauvres mais sans jamais renoncer à ses idéaux originels, en particulier à celui d’une vie spirituelle intense de chacun de ses membres. C’est dans cette direction que doit se poursuivre votre engagement avec une attention particulière à la consécration religieuse des Profès qui constitue le cœur de l’Ordre".

"N’oubliez jamais vos racines...ni votre engagement à la perfection chrétienne via la profession des trois vœux... La vocation du profès, encore aujourd’hui, doit être l'objet d’un grand soin avec la préoccupation pour la vie spirituelle de tous. En cela, votre Ordre, en regard d’autres réalités engagées dans le domaine international en faveur de l’assistance aux malades, de la solidarité et de la promotion humaine, se distingue par son inspiration chrétienne qui doit toujours orienter l’engagement social de ses membres. Sachez conserver et cultiver ce caractère qui vous est propre et travailler avec une ardeur apostolique renouvelée, dans une attitude toujours en syntonie avec le magistère de l’Eglise. Votre œuvre précieuse et bénéfique, déployée en différents secteurs et réalisée en différentes parties du monde, centrée en particulier sur le service du malade au travers de structures hospitalières et sanitaires, n'est pas une simple philanthropie mais l'expression efficace et le témoignage vivant de l'amour évangélique... L'amour du prochain correspond au commandement du Christ et à son exemple, s'il se fonde sur un amour véritable envers Dieu. Il est ainsi possible pour le chrétien, par son engagement, de faire expérimenter aux autres la tendresse bienveillante du Père céleste grâce à une conformation toujours plus profonde au Christ. Pour donner l'amour a ses frères, il est nécessaire de le recueillir au feu de la charité divine, par la prière, l'écoute constante de la Parole de Dieu et une existence centrée sur l'Eucharistie. Votre vie quotidienne doit être pénétrée de la présence de Jésus, sous le regard de qui vous êtes appelés à mettre aussi les souffrances des malades, la solitude des anciens, les difficultés des infirmes. Allant à la rencontre de ces personnes, vous servez le Christ... Continuez à opérer dans la société et dans le monde au long des grandes voies balisées par l'Evangile: la foi, c'est-à-dire le témoignage d'adhésion au Christ et d'engagement pour la mission évangélique, qui vous stimule pour acquérir une présence toujours plus vivante dans la communauté ecclésiale et vous conduise à une conscience toujours plus forte de votre appartenance au peuple de Dieu. Faîtes la charité, expression de fraternité dans le Christ au travers des œuvres de miséricorde pour les malades, les pauvres, ceux qui ont besoin d'amour, de compassion et d'assistance, les affligés par la solitude, par le désarroi et les nouvelles pauvretés matérielles et spirituelles. Ces idéaux sont bien exprimés par votre devise Tuitio Fidei et Obsequium Pauperum. Ces mots synthétisent bien le charisme de votre Ordre qui, en tant que sujet international, ne vise pas à exercer quelque pouvoir ou influence de nature mondaine, mais désire exercer en pleine liberté sa mission propre pour le bien intégral de l'homme, qui est esprit et corps, attentif à chacun comme à la communauté, surtout à ceux qui ont le plus besoin d'espérance et d'amour".
 

AUDIENCES

Cité du Vatican, 9 février 2013 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce matin en audiences séparées:

Dix prélats de la Conférence épiscopale du Latium (Italie), en visite Ad Limina:

Mgr.Fabio Bernardo D'Onorio, Archevêque de Gaeta.

Mgr.Delio Lucarelli, Evêque de Rieti.

Mgr.Giuseppe Petrocchi, Evêque de Latina-Terracina-Sezze-Priverno.

Mgr.Lino Fumagalli, Evêque de Viterbo.

Mgr.Lorenzo Loppa, Evêque d'Anagni-Alatri.

Mgr.Romano Rossi, Evêque de Civita Castellana.

Mgr.Ambrogio Spreafico, Evêque de Frosinone-Veroli-Ferentino.

Mgr.Luigi Marrucci, Evêque de Civitavecchia.

Mgr.Gerardo Antonazzi, Evêque élu de Sora-Aquino-Pontecorvo.

Dom Pietro Vitorelli, OSB, Abbé de l'abbaye territoriale de Montecassino.

Le Cardinal Marc Ouellet, PSS, Préfet de la Congrégation pour les évêques.


AUTRES ACTES PONTIFICAUX

Cité du Vatican, 12 février 2013 (VIS). Hier, le Saint-Père a nommé Mgr.Robert J.Coyle, Auxiliaire de l'Ordinaire militaire pour les Etats-Unis d'Amérique. L'Evêque élu, né en 1964 à New York (USA) et ordonné prêtre en 1991, était jusqu'ici Curé de la paroisse du Corpus Domini de Mineola (USA). Officier de marine, il a été durant dix ans aumônier militaire.

Samedi dernier, 9 février, il avait:

Nommé l'Abbé Domingo Buezo Leiva, Vicaire apostolique d'Izabal (superficie 9.038, population 413.339, catholiques 175.000, prêtres 30, religieux 45), au Guatemala. L'Evêque élu, né en 1962 à Zulia (Guatemala) et ordonné prêtre en 1988, était jusqu'ici Vicaire épiscopal de ce même diocèse. Licencié en théologie, il est depuis 1998 curé de paroisse et chargé de la pastorale diocésaine.

Elévé Mgr.Leonardo Sapienza (Italie), Régent de la Préfecture de la Maison pontificale, au rang de protonotaire apostolique participant.

AVIS

Cité du Vatican, 12 février 2013 (VIS). Les erreurs graphiques relevées dans le bulletin VIS d'hier ont été causées par une surcharge du réseau numérique vatican.