Cité
du Vatican, 23 juillet 2012 (VIS). Réagissant à des articles de la
presse italienne et allemande, faisant état "d'enquêtes
relatives à la fuite de documents, et insinuant la complicité de
personnes proches du Pape, la Secrétairerie d'Etat exprime sa vie et
totale réprobation. Non fondées sur des faits objectifs, ces
indications blessent gravement l'honorabilité de personnes qui sont
depuis longtemps au service du Saint-Père". Le Directeur de la
Salle de Presse a précisé que, "les résultats de l'enquête
des autorités compétentes n'étant pas publiés, nul n'est légitimé
à publier de telles interprétations infondées. Ce n'est pas
l'information à laquelle l'opinion publique a droit". Par
ailleurs, sur les ondes de Radio Vatican, le P.Lombardi a redit une
fois de plus que "le fait d'être entendu par une commission
d'enquête se signifie aucunement être suspect. Si les trois
personnes citées peuvent avoir été entendues cela ne signifie pas
pour autant qu'on les suspecte de co-responsabilité ou de
complicité... Quant à leur éloignement, le Cardinal Sardi a quitté
la Secrétairerie d'Etat à 75 ans passés, Mme Stampa travaille
toujours à la Secrétairerie d'Etat, et Mgr.Clemens est toujours
Secrétaire du Conseil pontifical pour les laïcs. Il est faux qu'il
ait reçu du Pape la lettre dont parle Die Welt, et que La Repubblica
cite indirectement".
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