Cité
du Vatican, 26 novembre 2014 (VIS). Le Conseil pontifical pour la
pastorale des migrants, son homologue Iustitia et Pax, et les unions
des Supérieurs généraux et Supérieures générales, organisent le
8 février prochain une Journée mondiale de prière et de réflexion
contre la traite des êtres humains. Le 8 février est la fête de
sainte Josephine Bakhita, l'esclave soudanaise canonisée en 2000.
Cette plaie, toujours présente dans le monde, touche selon les
Nations-Unies 21 millions de personnes, parmi les plus pauvres et les
plus vulnérables. Principalement femmes et enfants, elles sont
victimes d'exploitation sexuelle, du travail forcé, contraintes à
la vente d'organes ou à la mendicité. C'est un ensemble d'activités
criminelles lucratives qui rapportent 32 millions d'US$ par an, à
l'instar des trafics de drogue et d'armement. Cette première journée
devra sensibiliser l'opinion à une situation dont souffrent des
millions de personnes et à réfléchir à des actions concrètes.
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