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Le Vatican Information Service (VIS) est un service d'information de la Salle-de-Presse du Saint-Siège. Il propose des informations sur le Magistère et l'activité pastorale du Saint-Père et de la Curie Romaine... []

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lundi 10 novembre 2008

AUDIENCES


CITE DU VATICAN, 10 NOV 2008 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce matin en audiences séparées neuf prélats de la Conférence épiscopale bolivienne, en visite Ad Limina:

-Le Cardinal Julio Terrazas Sandoval, CSSR, Archevêque de Santa Cruz de la Sierra, accompagné de ses Auxiliaires, Mgr.Sergio Alfredo Gualberti Calandrina, Mgr.Stanislaw Dowlaszewicz Billman, OFM.Conv., et Mgr.Braulio Sáez García, OCD.

-Mgr.Tito Solari Capellari, SDB, Archevêque de Cochabamba, accompagné de son Auxiliaire, Mgr.Luis Sáinz Hinojosa, OFM.

-Mgr.Jorge Herbas Balderrama, OFM, Coadjuteur du Prélat de Aiquile.

-Mgr.Jesús Juárez Párraga, SDB, Evêque de El Alto.

-Mgr.Carlos Stetter, Evêque de San Ignacio de Velasco.

  Samedi dernier, 8 novembre, il avait successivement reçu:

-Mgr.Vernon James Weisgerber, Archevêque de Winnipeg et Président de la Conférence épiscopale canadienne, accompagné de Mgr.Pierre Morissette, Evêque de Baie-Comeau et Vice-président, et de Mgr.Mario Paquette, Secrétaire-général.

-Cinq prélats de la Conférence épiscopale bolivienne, en visite Ad Limina:

    -Mgr.Gonzalo Ramiro del Castillo Crespo, OCD, Ordinaire militaire.

    -Mgr.Julio María Elías Montoya, OFM, Vicaire apostolique de El Beni, accompagné de son Auxiliaire, Mgr.Francisco Focardi, OFM, et de son prédécesseur, Mgr.Manuel Eguiguren Galarraga, OFM.

    -Mgr.Antonio Bonifacio Reimann Panic, OFM, Vicaire apostolique de Nuflo de Chávez.

-Mgr.Mieczyslaw Mokrzycki, Archevêque de Lviv (Ukraine).

-Le Cardinal Giovanni Battista Re, Préfet de la Congrégation pour les évêques.
AL:AP/.../...                                               VIS 20081110 (200)


POUR UNE EUROPE DE LIBERTE


CITE DU VATICAN, 10 NOV 2008 (VIS). Le 6 novembre à Nuremberg (Allemagne), le Secrétaire de la Congrégation pour l'éducation catholique, est intervenu au cours du IV Séminaire européen des ministres de l'éducation des pays signataires de la Convention culturelle européenne: "Enseigner la mémoire pour une Europe du droit et de la liberté" (5 - 7 novembre).

  Mgr.Jean-Louis Bruguès, OP, a tout d'abord souligné l'importance symbolique du lieu choisi, la cité historique de Nuremberg où se déroulèrent les grands rassemblements nazis, mais aussi le procès où les plus graves crimes contre l'humanité ont été flétris. Les faits dont cette ville a été le témoin, nous parlent du drame d'une époque où la liberté et la justice furent niées, et la dignité humaine piétinée. Le souvenir du drame et l'hommage dû à la mémoire de ses victimes exige que nous nous rendions à cette évidence. Ces vicissitudes ténébreuses en appellent à notre responsabilité dans la construction, aujourd'hui et demain, de notre continent. Qu'en aucun endroit de l'Europe, que nulle part dans le monde ne se reproduisent de telles tragédies! A ce sujet, le Saint-Siège encourage l'engagement des pays qui adhèrent à la Convention culturelle européenne à faire de la mémoire un lieu d'enseignement. La mémoire, en effet, ne contribue pas seulement à restituer le passé ; elle doit pouvoir conduire à une meilleure compréhension mutuelle, au dialogue, à la prévention des crimes contre l'humanité, à la consolidation de l'Europe du droit et de la liberté".

 
  Le droit et la liberté, a poursuivi le représentant du Saint-Siège, "sont essentiels pour éviter que ne reviennent des totalitarismes. Le droit se fonde sur un sens de la dignité et de la justice particulièrement élevé... Sans la passion pour la justice et la liberté, nous risquons de retomber en barbarie. Cela signifie que chacun de nous, à la mesure de ses possibilités, s'emploie à ce que le mal ne l'emporte plus sur le bien, comme ce fut le cas pour des millions de juifs. Il faut donc redoubler d'efforts pour libérer l'homme du spectre du racisme, de la xénophobie, de l'asservissement, de l'exclusion et de la marginalisation. Il faut extirper ces maux qui continuent à se manifester dans les sociétés de ce temps, et remettent en cause les fondements de toute coexistence pacifique".

  "Le devoir de mémoire doit ainsi continuer à animer notre esprit et notre cœur. Il pousse la raison humaine à dévoiler le mal sous toutes ses formes et à le rejeter... Au fur et à mesure que le temps passe, les témoins directs de cette tragédie se font plus rares. Cela nous incite à fournir un effort majeur afin que la mémoire soit conservée et transmise aux nouvelles générations. Il nous revient, par conséquent, d'encourager toutes les initiatives allant en ce sens, à l'instar de la Journée de la mémoire et de la prévention des crimes contre l'humanité, qui contribuent à maintenir vivantes la mémoire de ces événements tragiques, ainsi que les interrogations et réflexions qu'il suscitent".
DELSS/MEMOIRE/NUREMBERG:BRUGUES                         VIS 20081110 (510)


ESPERANCE ET UNITE EN BOLIVIE


CITE DU VATICAN, 10 NOV 2008 (VIS). Benoît XVI a reçu ce matin les prélats de la Conférence épiscopale bolivienne au terme de leur visite Ad Limina. Au début de son discours, il a évoqué "les circonstances difficiles qui touchent les fidèles et les citoyens" de ce pays, "et qui semblent s'aggraver. Elles sont certainement un sujet de préoccupation et d'attention pastorale spéciale pour l'Eglise qui a su se rendre proche des Boliviens dans les situations délicates, dans l'unique but de maintenir l'espérance, de raviver la foi, de consolider l'unité, d'encourager à la réconciliation et de sauvegarder la paix".

  "D'autres défis ne manquent pas dans le travail pastoral, puisque la foi établie en terre bolivienne a toujours besoin de se nourrir et de se fortifier, spécialement lorsque sont perçus des signes d'un certain affaiblissement de la vie chrétienne par des facteurs d'origines diverses, une grande incohérence entre la foi professée et les règles de vie personnelle et sociale, ou une formation superficielle qui laissent les baptisés exposés à l'influence de promesses attirantes mais vaines". Puis il a relevé que pour faire face à ces problèmes, "l'Eglise en Bolivie peut compter sur un moyen puissant, la piété populaire, précieux trésor accumulé pendant des siècles grâce au travail de missionnaires audacieux, et maintenu avec une constante fidélité pendant des générations dans les familles boliviennes. C'est un don qui doit être certainement gardé et promu aujourd'hui,...pour que la valeur des signes pénètre au plus profond des cœurs, soit toujours éclairée par la Parole de Dieu et se transforme en convictions fermes de foi, consolidée par les sacrements et la fidélité aux valeurs morales". Pour cela, a-t-il poursuivi, "il faut une catéchèse systématique, généralisée et pénétrante qui enseigne clairement et intégralement la foi catholique... Il faut aussi une éducation générale de qualité, qui comprenne la dimension spirituelle et religieuse de la personne et contribue puissamment à poser des bases solides pour faire grandir la foi". Le Pape a ainsi rappelé que l'Eglise bolivienne dispose de nombreuses institutions éducatives, "certaines de grand prestige qui doivent pouvoir compter sur l'attention de leurs pasteurs pour être maintenues et respectées dans leur identité propre".

  Benoît XVI a alors manifesté sa joie pour les efforts déployés par ses hôtes "pour offrir aux séminaristes une solide formation humaine, spirituelle, intellectuelle et pastorale en les confiant à des prêtres aptes à les accompagner dans le discernement de leur vocation et leur assurer aptitude et compétence... Un suivi postérieur est aussi nécessaire -a-t-il ajouté- pour garantir une formation permanente du clergé et des agents pastoraux, qui nourrisse constamment leur vie spirituelle et empêche que leur travail ne tombe dans la routine et la superficialité". Après avoir rappelé l'importance de l'écoute et de la méditation des Ecritures qui "doit toujours être au premier plan", il a souligné que "de l'écoute docile de la Parole divine, naît l'amour du prochain et, avec lui, le service désintéressé des frères, aspect qui occupe un rang très important dans l'action pastorale en Bolivie, face à la situation de pauvreté, la marginalisation ou la détresse d'une grande partie de la population". Le Saint-Père a conclu en encourageant les évêques dans leur mission de "guides de l'Eglise en Bolivie, et dans l'esprit de communion et de concorde entre vous. Une communion enrichie par les liens particuliers d'étroite fraternité avec les autres Eglises locales, certaines dans des terres éloignées, mais qui désirent partager avec vous les joies et les espérances de l'évangélisation dans ce pays".
AL/.../BOLIVIE                                VIS 20081110 (590)


POST ANGELUS


CITE DU VATICAN, 9 NOV 2008 (VIS). Après l'angélus, le Pape a évoqué "les tragiques évènements de la nuit du 9 au 10 novembre 1938, quand la furie nazie se déchaîna en Allemagne contre les juifs... Magasins, bureaux, habitations et synagogues furent dévastés et détruits, de nombreuses personnes aussi furent tuées, marquant le début d'une persécution systématique et violente des juifs allemands, qui s'est terminée par la Shoah. Aujourd'hui encore j'éprouve de la douleur pour ce qui s'est passé, et le souvenir doit servir à faire en sorte que de telles horreurs ne se répètent plus et que l'on lutte, à tous les niveaux, contre toute forme d'antisémitisme et de discrimination, en éduquant les jeunes générations au respect de l'autre. J'invite, en outre, à prier pour ces victimes et à vous unir à moi en manifestant une profonde solidarité avec le monde juif".

  Le Pape a ensuite lancé un appel pour la paix en République démocratique du Congo. "D'inquiétantes nouvelles nous parviennent de la région du nord Kivu. De sanglants affrontements armés et des atrocités systématiques ont fait et font de nombreuses victimes parmi des civils innocents. Des destructions, saccages et violences de tous types ont contraint des dizaines de milliers de personnes à abandonner le peu qu'ils avaient pour survivre. On dénombre actuellement plus d'un million et demi de réfugiés. J'exprime ma particulière proximité à tous et à chacun de leurs souhaits, et j'encourage et béni tout ceux qui agissent pour alléger leur souffrance parmi lesquels notamment les opérateurs pastoraux de cette Eglise locale. J'adresse aux familles qui ont perdu des proches mes condoléances et l'assurance de ma prière pour les défunts. Enfin, je renouvelle mon appel fervent afin que tous collaborent pour le retour de la paix sur cette terre martyrisée depuis trop longtemps, dans le respect de la légalité et surtout de la dignité de toute personne".

  Benoît XVI a enfin parlé de la Journée d'action de grâce des agriculteurs italiens, qui cette année avait pour thème: J'avais faim et tu m'as rassasié. "J'unis ma voix -a-t-il dit- à celle des évêques qui, par ces paroles de Jésus, attirent notre attention sur le problème grave et complexe de la faim, encore accru par l'augmentation des prix de quelques aliments de base. L'Eglise  propose encore le principe fondamental de la destination universelle des biens et le met en pratique à l'exemple du Seigneur Jésus par de multiples initiatives de partage. Je prie pour le monde rural, spécialement pour les petits cultivateurs des pays en développement. J'encourage et je bénis ceux qui s'engagent pour que personne ne manque d'une alimentation saine et adéquate: celui qui secourt le pauvre, secourt le Christ lui-même".
ANG/JUIFS:PAIX:FAIM/...                            VIS 20081110 (450)


ANGELUS DOMINICAL


CITE DU VATICAN, 9 NOV 2008 (VIS). A l'occasion de son rendez-vous dominical, Benoît XVI a d'abord rappelé aux fidèles rassemblés Place St.Pierre que c'est aujourd'hui la fête de la dédicace de la Basilique du Latran, mère de toutes les églises de Rome et du monde. La cathédrale romaine, construite dès après l'édit de Constantin qui garantit en 313 aux chrétiens la liberté de culte, fut consacrée en 324 par Silvestre I. C'est au VI siècle que les noms de Jean le Baptiste et de Jean l'Evangéliste seront ajoutés à celui du Sauveur comme titulaires de la cette basilique papale. Ainsi que le disait saint Ignace d'Antioche, en commémorant sa dédicace, on exprime l'attachement à l'Eglise de Rome, qui préside à la charité de la communion catholique.

  En cette fête, "la Parole de Dieu rappelle une vérité essentielle. Le temple fait de pierre symbolise l'Eglise vivante qu'est la communauté chrétienne, vue depuis Pierre et Paul comme un édifice spirituel bâti par Dieu au moyen des pierres vivantes que sont les chrétiens et reposant sur la pierre d'angle qu'est le Christ... La beauté et l'harmonie des églises -a poursuivi le Saint-Père- louent Dieu et nous invitent, nous qui sommes limités et pécheurs, à nous transformer en cosmos, en construction ordonnée et en communion avec Jésus qui est le véritable Saint des Saints. Ceci se réalise au plus haut niveau dans la liturgie eucharistique où la communauté des baptisés se retrouve à l'écoute de la Parole et pour se nourrir du corps et du sang  du Christ. C'est autour de cette double table que l'Eglise de pierres vivantes se bâtit dans la vérité et dans la charité, sous l'inspiration de l'Esprit". La solennité de ce jour, a conclu Benoît XVI célèbre "un mystère toujours actuel: Dieu veut constituer le monde en temple spirituel", ce qui implique aussi "l'importance des édifices matériels dans lesquels les fidèles prient. Chaque communauté a donc le devoir d'entretenir son église, élément d'un patrimoine religieux et historique de grande valeur".
ANG/BASILIQUE LATRAN/...                              VIS 20081110 (340)


AUTRES ACTES PONTIFICAUX

CITE DU VATICAN, 8 NOV 2008 (VIS). Le Saint-Père a nommé Mgr.Rino Passigato, Nonce apostolique au Portugal, jusqu'ici Nonce au Pérou.
NN/.../PASSIGATO                                                        VIS 20081110 (30)

MAGISTERE DE PIE XII


CITE DU VATICAN, 8 NOV 2008 (VIS). Le Pape a reçu ce matin les participants au congrès consacré au Magistère de Pie XII dans Vatican II, organisé du 6 au 8 novembre par les universités pontificales Grégorienne et du Latran. Benoît XVI a d'abord souligné que le magistère du serviteur de Dieu Pie XII, dont on commémore cette année le cinquième anniversaire de la mort, est un précieux héritage pour l'Eglise. Puis a rappelé que Pie XII avait écrit plus de quarante encycliques, dont Mystici Corporis dans laquelle le Pape aborde le thème de la nature vraie et intime de l'Eglise, mais également Divino Afflante Spiritu sur l'Ecriture ou Mediator Dei sur la liturgie.

  "A de nombreuses occasions, Pie XII a parlé de la responsabilité des laïcs dans l'Eglise", et de "la grande importance des moyens de communication modernes,...tout en soulignant le devoir des journalistes de fournir des informations vraies et respectueuses des normes morales... Tout en admirant aussi les conquêtes dans le domaine scientifique, il ne manquait pas de mettre en garde contre les risques qu'une recherche qui ne tenait pas compte des valeurs morales pouvait comporter" et "il prévenait de la nécessité d'empêcher à tout prix que ces progrès scientifiques de génie soient utilisés pour la construction d'armes de mort qui auraient pu provoquer d'énormes catastrophes voire la destruction totale de l'humanité".

  "L'enseignement mariologique de Pie XII qui atteint son sommet dans la proclamation du dogme de l'Assomption de la Vierge Marie mérite aussi une attention particulière puisque le Saint-Père entendait par là souligner la dimension eschatologique de notre existence et mettre davantage en valeur la dignité de la femme". Soulignant combien "Pie XII était un homme mesuré et réaliste...et protégé du danger du pessimisme qui n'atteint pas le croyant", le Pape a ajouté que "les polémiques stériles l'ennuyaient et qu'il était profondément méfiant face au fanatisme et au sentimentalisme". On notait en lui "un effort constant et une volonté ferme de se donner à Dieu sans compter et sans égard pour sa faible santé... Tout lui venait de l'amour pour son Seigneur Jésus-Christ et de l'amour pour l'Eglise et pour l'humanité. En fait, il était surtout un prêtre en union permanente et intime avec Dieu... C'est là qu'il puisait pour donner un élan à son magistère comme d'ailleurs à toutes ses autres activités. Son magistère fécond a encore pour les chrétiens d'aujourd'hui une valeur inestimable... L'héritage du magistère de Pie XII a été recueilli par le Concile Vatican II et proposé de nouveau aux générations chrétiennes suivantes". Le Saint-Père a conclu en disant que "dans la personne du Pie XII, le Seigneur a fait un don exceptionnel à son Eglise, pour lequel nous devons tous le remercier".
AC/PIE XII/...                                    VIS 20081110 (460)


NOUVEL AMBASSADEUR DE CHINE-TAIWAN


CITE DU VATICAN, 8 NOV 2008 (VIS). Benoît XVI a reçu ce matin les lettres de créances de M.Wang Larry Yu-Yuan, le nouvel Ambassadeur de Chine-Taïwan, devant lequel il a souligné combien son pays cultivait un fort sentiment d'appartenance à la communauté internationale et à la famille humaine. Cela se manifeste, a-t-il précisé, "sous de multiples formes et notamment dans la générosité de son aide d'urgence aux pays les plus pauvres. Ainsi contribue-t-il efficacement à la construction d'un monde plus sûr et plus stable, ce dont le Saint-Siège se félicite", qui collabore volontiers avec les promoteurs de la paix et du développement.

  Puis rappelant que les catholiques ne représentent même pas 1% de la population, le Pape a dit qu'ils "sont fiers de participer au développement d'une société plus juste, vraiment soucieuse du sort des plus faibles". Il a également salué l'engagement des pouvoirs publics en faveur de la liberté religieuse, "ce qui permet à l'Eglise d'assumer sa mission d'amour et de service, d'exercer librement son culte et de proclamer l'Evangile". Grâce à la spiritualité et à la sagesse traditionnelle de son peuple, on peut constater en Asie "une grande vitalité religieuse et une capacité de renouveau qui préparent le terrain à un fertile dialogue inter-religieux".

  Il est aujourd'hui important "que les peuples puissent s'entendre dans le respect et la dignité, conscients de ce qu'ils partagent plus de valeurs que les différences culturelles les séparant... Le dialogue franc et constructif est le moyen de résoudre les conflits qui menacent la stabilité mondiale. C'est pourquoi le Saint-Siège salue les progrès dans les relations entre Taïwan et la Chine continentale". L'Eglise catholique s'applique toujours à favoriser les solutions pacifiques "en étant attentive au moindre signal de dialogue et de réconciliation". Ainsi appuie-t-elle les efforts des gouvernements dans la défense de la dignité humaine et la recherche de la paix.      
CD/AMBASSADEUR CHINE-TAIWAN/YU-YUAN                   VIS 20081110 (320)


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