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Le Vatican Information Service (VIS) est un service d'information de la Salle-de-Presse du Saint-Siège. Il propose des informations sur le Magistère et l'activité pastorale du Saint-Père et de la Curie Romaine... []

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lundi 20 mai 2013

PRETS A ACCUEILLIR LES SURPRISES DE DIEU

Cité du Vatican, 19 mai 2013 (VIS). Ce matin, Place St.Pierre, devant plus de 200.000 personnes, le Pape François a célébré la messe de Pentecôte, clôturant le pèlerinage des nouveaux mouvements ecclésiaux organisé dans le cadre de l'Année de la foi. En ce jour, a-t-il rappelé à l'homélie, "nous revivons dans la liturgie l’effusion de l’Esprit Saint opérée par le Christ ressuscité sur son Eglise, une manifestation de la grâce qui depuis cénacle de Jérusalem s'est répandue dans le monde entier". Après quoi il a articulé sa prédication en fonction des notions de nouveauté, d'harmonie et de mission, en relation avec l'action de l'Esprit raconté par les Actes des apôtres:

"La nouveauté nous fait toujours un peu peur, parce que nous nous sentons plus rassurés si nous avons tout sous contrôle, si c’est nous-mêmes qui construisons, programmons, faisons des projets pour notre vie selon nos plans, nos sécurités, nos goûts. Et cela arrive aussi avec Dieu. Souvent, nous le suivons, nous l’accueillons, mais jusqu’à un certain point. Il nous est difficile de nous abandonner totalement à lui... Nous avons peur qu'il nous entraîne sur des chemins nouveaux, nous fasse sortir de notre horizon souvent limité, fermé, égoïste, pour nous ouvrir à ses horizons. Mais tout au long de l’histoire du salut, Dieu...apporte la nouveauté, il transforme et demande de se confier totalement à lui", comme ce fut le cas de Noé, d'Abraham ou des apôtres. "Craintifs et enfermés dans le cénacle, il sortirent avec courage pour annoncer l’Evangile. Ce n’est pas la nouveauté pour la nouveauté, la recherche du nouveau pour dépasser l’ennui, comme c'est souvent le cas de nos jours. La nouveauté de Dieu nous réalise, nous donne la vraie joie, la vraie sérénité... Sommes-nous ouverts aux surprises de Dieu? Ou bien nous fermons-nous à la nouveauté de l’Esprit? Avons-nous le courage d'aller sur les chemins que la nouveauté de Dieu nous offre ou bien restons-nous enfermés dans des structures caduques qui ont perdu toute capacité d’accueil?".

"En apparence, l’Esprit Saint semble créer du désordre dans la communauté ecclésiale à laquelle il apporte la diversité des charismes et des dons. Mais tout au contraire, son action est une grande richesse, parce qu'il est l’Esprit d’unité, qui ne signifie pas uniformité, mais ramène le tout à l’harmonie. Dans l’Eglise, c’est l’Esprit Saint qui fait l’harmonie... Lui seul peut susciter la diversité, la pluralité, la multiplicité et, en même temps, opérer l’unité. Ici aussi, quand c’est nous qui voulons faire la diversité et que nous nous fermons sur nos particularismes, sur nos exclusivismes, nous apportons la division. Lorsque nous voulons faire l’unité à notre convenance, nous finissons par apporter l’uniformité, l’homogénéité. Si, au contraire, nous nous laissons guider par l’Esprit, la richesse et la diversité ne sont jamais sources de conflit, parce qu’il nous pousse à vivre cette variété dans la communion de l’Eglise... Marcher ensemble sous la conduite de pasteurs au charisme et au ministère particuliers, est signe de l’action de l’Esprit. L’ecclésialité est fondamentale pour tout chrétien, pour chaque communauté, pour chaque mouvement. L’Eglise apporte le Christ et porte au Christ, car les chemins parallèles sont dangereux. Quand on s’aventure hors de la doctrine et de la communauté ecclésiale...on n’est plus unis au Dieu de Jésus-Christ. Demandons-nous alors si nous sommes ouverts à l’harmonie de l’Esprit Saint?... Est-ce que je me laisse guider par lui en vivant dans l’Eglise et avec l’Eglise?".

"Les théologiens anciens disaient que l’âme est comme un bateau. L’Esprit est le vent qui souffle dans la voile pour le faire avancer. Ses coups et ses poussées sont ses dons. Sans son action, sans sa grâce, nous n’avançons pas. L’Esprit Saint nous fait entrer dans le mystère du Dieu vivant et nous sauve du danger d’une Eglise gnostique ou d’une Eglise auto-référentielle et refermée sur elle-même. Il nous pousse à ouvrir les portes pour sortir, pour annoncer et témoigner la bonne vie de l’Evangile, pour communiquer la joie de la foi, de la rencontre avec le Christ. L’Esprit est l’âme de la mission. Ce qui est arrivé à Jérusalem il y a près de deux-mille ans n’est pas un événement éloigné de nous, c’est un événement qui nous rejoint, qui se fait expérience vivante en chacun de nous. La Pentecôte du Cénacle est le commencement, un commencement qui se prolonge... C’est le Paraclet, l'Esprit consolateur, qui donne le courage de parcourir les routes du monde en apportant l’Evangile. Il nous indique l’horizon et nous pousse jusqu’aux périphéries existentielles pour annoncer la vie de Jésus-Christ".

Après la messe, le Saint-Père a parcouru à bord de la papamobile la place et la Via della Conciliazione, saluant la foule pendant trois quarts d'heure.

UN CENACLE A CIEL OUVERT

Ci du Vatican, 19 mai 2013 (VIS). Après la messe de la Pentecôte, le Saint-Père a récité le Regina Coeli avec les fidèles et pèlerins réunis Place St.Pierre: "Cette Pentecôte renouvelée a transformé la Place St.Pierre en un cénacle à ciel ouvert et nous avons revécu l'expérience de l'Eglise naissante, en prière avec Marie, la mère de Jésus. Nous aussi, dans la variété de nos charismes, nous avons fait l'expérience de la beauté de l'unité, d'être une seule chose. C'est l’œuvre de l'Esprit Saint qui crée toujours de nouveau l'unité de l'Eglise. L'Evêque de Rome a remercié tous les mouvements, les associations, les communautés, les groupes ecclésiaux en leur disant: "vous êtes un don et une richesse dans l'Eglise! Portez toujours la force de l'Evangile! N'ayez pas peur! Ayez toujours la joie et la passion pour la communion dans l'Eglise. Que le Seigneur ressuscité soit toujours avec vous et que la Vierge vous protège". A la fin de la prière mariale, le Pape a évoqué la population d'Emilie-Romagne (Italie) qui, l'année passée, à cette date, a été victime d'un tremblement de terre, ainsi que la fédération italienne des associations de volontaires en oncologie.

L'EGLISE NE PEUT PAS RESTER FERMEE SUR ELLE-MEME

Ci du Vatican, 18 mai 2013 (VIS). Dans le cadre de l'Année de la foi, les nouveaux mouvements, communautés, associations et groupements laïcs se sont retrouvé à Rome pour réfléchir sur leur mission (thème coisi: Je crois! Augmente en nous la foi). Plus de 120.000 personnes étaient présentes cet après-midi Place St.Pierre. A 17 h 30, le Saint-Père est arrivé et, après avoir salué les pèlerins, il a ouvert la veillée de Pentecôte. Après les salutations de Mgr.Rino Fisichella, Président du Conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation, l'icône de Marie Salus Populi Romani a été portée en procession. Après des lectures, chants et témoignages, le Pape François a répondu à quatre questions posées par les représentants des mouvements. Voici, à la suite des questions, un résumé des réponses du Saint-Père:

Première question: Comment êtes-vous arrivé dans votre vie à cette certitude sur la foi, et quelle route nous indiquez-vous pour que chacun de nous puisse vaincre la fragilité de sa foi?

"J'ai eu la grâce de grandir dans une famille où la foi se vivait de façon simple et concrète... j'ai reçu...le premier message à la maison, en famille! Et cela me fait penser à l'amour de tant de mamans et de grands-mères dans la transmission de la foi... Nous ne trouvons pas la foi dans l'abstrait, non. C'est toujours une personne qui prêche, qui nous dit qui est Jésus, qui nous transmet la foi, qui nous donne le premier message... Mais il y a un jour pour moi qui est très important: le 21 septembre 1953. J'avais presque 17 ans. C'était la Journée des étudiants... Avant d'aller à la fête, je suis passé à ma paroisse, j'y ai trouvé un prêtre que je ne connaissais pas et j'ai ressenti le besoin de me confesser... Après la confession, j'ai senti que quelque chose avait changé. Je n'étais plus le même. J'avais entendu comme une voix, un appel: j'étais convaincu que je devais devenir prêtre. Cette expérience dans la foi est importante. Nous disons que nous devons chercher Dieu, aller à lui et lui demander pardon, mais quand nous y allons, il nous attend, il est déjà là!... Et cela te surprend tellement que tu n'en reviens pas, et c'est ainsi que la foi augmente! Par la rencontre avec une personne, par la rencontre avec le Seigneur... L'ennemi le plus grand de la fragilité est la peur. Mais n'ayez pas peur. Nous sommes fragiles et nous le savons. Mais Dieu est le plus fort! Si tu vas avec lui, il n'y a pas de problème! Un enfant est très fragile...mais s'il est avec son papa et sa maman, il est en sécurité. Avec le Seigneur, nous sommes en sécurité. La foi grandit avec le Seigneur, en prenant sa main".

La deuxième question a porté sur le défi de l'évangélisation et sur ce que devaient faire les mouvements pour mettre en pratique la mission à laquelle ils ont été appelés.

"Je dirais seulement trois mots. Le premier est Jésus... Si nous progressons dans notre organisation, dans d'autres choses, de belles choses, mais sans Jésus, nous n'avançons pas, cela ne va pas. Jésus est plus important... Le deuxième mot est la prière. Regarder le visage de Dieu, mais surtout...se sentir regardés... Et le troisième: le témoignage... la communication de la foi ne peut se faire que par le témoignage, c'est cela l'amour. Pas avec nos idées mais avec l'Evangile vécu dans notre propre existence... Ne parlez pas tellement, mais parlez par toute votre vie: la cohérence de vie...qui est de vivre le christianisme comme une rencontre avec Jésus qui m'amène vers les autres et non comme un acte social. Socialement nous sommes ainsi, nous sommes chrétiens, fermés sur nous. Non, pas question! Le témoignage!".

La troisième question a été de savoir comment vivre une Eglise pauvre et pour les pauvres.

"Avant tout, vivre l'Evangile est la principale contribution que nous pouvons apporter. L'Eglise n'est pas un mouvement politique, ni une structure bien organisée; elle n'est pas cela... L'Eglise est le sel de la terre, elle est la lumière du monde, elle est appelée à rendre présent dans la société le levain du Règne de Dieu, et elle le fait avant tout par son témoignage, le témoignage de l'amour fraternel, de la solidarité... Quand on entend dire que la solidarité n'est pas une valeur mais qu'elle est une attitude primaire qui doit disparaître, cela ne va pas!... La crise que nous sommes en train de vivre...n'est pas seulement une crise économique; non, il s'agit d'une crise culturelle. C'est une crise de l'homme! Et celui qui peut être détruit, c'est l'homme! Mais l'homme est à l'image de Dieu... En ce moment de crise, nous ne pouvons pas seulement nous préoccuper de nous-mêmes, nous renfermer dans la solitude, le découragement... Ne vous fermez pas, s'il vous plaît! C'est un danger: nous nous enfermons dans nos paroisses, avec les amis, dans le mouvement, avec ceux qui pensent les mêmes choses... mais savez-vous ce qui se passe? Quand l'Eglise se ferme, elle tombe malade... L'Eglise doit sortir d'elle-même. Où? Vers les périphéries existentielles, quelles qu'elles soient, mais elle doit sortir... La foi est une rencontre avec Jésus et nous devons faire ce que fait Jésus: rencontrer les autres... Nous devons aller à la rencontre de l'autre et nous devons créer avec notre foi une culture de la rencontre...où nous pouvons aussi parler avec ceux qui ne pensent pas comme nous, même avec ceux qui ont une autre foi... Tous ont quelque chose en commun avec nous: ils sont à l'image de Dieu, ils sont des fils de Dieu. Aller à la rencontre de tous, sans négocier notre appartenance. Et il y a autre chose d'important: avec les pauvres. Si nous sortons de nous-mêmes, nous trouvons la pauvreté... Penser aujourd'hui que tant d'enfants n'ont rien à manger n'est pas une nouvelle. Cela est grave...nous ne pouvons pas rester tranquilles... Mais nous ne pouvons pas devenir des chrétiens amidonnés, ces chrétiens trop bien élevés qui parlent de choses théologiques pendant qu'ils prennent le thé, tranquilles. Non! Nous devons devenir des chrétiens courageux et aller chercher ceux qui sont justement la chair du Christ... La pauvreté pour nous chrétiens, n'est pas une catégorie sociologique, philosophique ou culturelle, non, c'est une catégorie théologale. Je dirais peut-être la première catégorie, parce que ce Dieu, le Fils de Dieu, s'est abaissé, il s'est fait pauvre pour marcher avec nous sur la route. C'est cela notre pauvreté: la pauvreté de la chair du Christ, la pauvreté qui nous a amené le Fils de Dieu avec son incarnation".

La dernière question a été: Comment aider nos frères, comment alléger leurs souffrances, si l'on ne peut rien faire ou si peu pour changer leur contexte politico-social?

"Pour annoncer l'Evangile, deux vertus sont nécessaires: le courage et la patience. Les chrétiens qui souffrent sont dans l'Eglise de la patience. Ils souffrent et il y a plus de martyrs aujourd'hui que dans les premiers siècles de l'Eglise... Il faut préciser que souvent ces conflits n'ont pas d'origine religieuse; il y a souvent d'autres causes, de type social et politique et, malheureusement, les appartenances religieuses sont utilisées comme de l'huile sur le feu. Un chrétien doit toujours savoir répondre au mal par le bien, même si c'est souvent difficile. Cherchons à leur faire sentir, à ces frères et sœurs, que nous sommes profondément unis...que nous savons qu'ils sont des chrétiens entrés dans la patience. Quand Jésus va vers sa Passion, il entre dans la patience...Ils font l'expérience des limites...entre la vie et la mort. Et à nous aussi, cette expérience doit nous amener à promouvoir la liberté religieuse pour tous. Toute homme et toute femme doivent être libres de choisir leur confession religieuse, quelle qu'elle soit. Pourquoi? Parce que cet homme et cette femme sont des fils de Dieu".

La veillée s'est conclue avec la profession de foi, les intentions de prière et le chant du Regina Cœli.

VISITE DE LA CHANCELIERE ALLEMANDE

Cité du Vatican, 18 mai 2013 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce matin la Chancelière allemande Mme.Angela Merkel, qui s'est ensuite entretenue avec Mgr.Dominique Mamberti, Secrétaire pour les rapports avec les états. Les conversations ont été l'occasion d'évoquer la longue histoire des rapports entre le Saint-Siège et l'Allemagne, mais aussi d'aborder des sujets comme la situation socio-politique, économique et religieuse de l'Europe et du monde. Il a notamment été question de la protection des droits de l'homme, des persécutions dont sont victimes des chrétiens, de la liberté religieuse et de la collaboration internationale pour la promotion de la paix. Enfin les parties ont eu un échange de points de vue sur l'Europe comme communauté de valeurs et sur sa responsabilité internationale dans la perspective d'un engagement de toutes les réalités civiles et religieuses en faveur d'un développement fondé sur la dignité de la personne et inspiré des principes de la subsidiarité et de la solidarité.

RENCONTRE CHRETIENS ET BOUDDHISTES


Ci du Vatican, 20 mai 2013 (VIS). "La paix intérieure. La paix entre les peuples", a été au cœur de la quatrième rencontre entre chrétiens et bouddhistes, qui s'est déroulée à l'Université pontificale Urbanienne organisée par le Conseil pontifical pour le dialogue inter-religieux, en collaboration avec le Bureau pour le dialogue œcuménique et inter-religieux de la Conférence épiscopale italienne. Les participants venus d'Italie, du Japon, de Taïwan, du Vietnam, de la Corée, de Thaïlande, du Myanmar, du Sri Lanka et d'Inde, ont réaffirmé la nécessité d'une responsabilité mutuelle des croyants des différentes traditions religieuses, pour maintenir ou restaurer la paix et contribuer à l'amitié et à la solidarité entre les personnes et les peuples: "Chrétiens et bouddhistes sont d'accord sur ce que la liberté intérieure, la purification du cœur, la compassion et le don de soi, sont les conditions essentielles pour la paix intérieure de la personne, ainsi que pour la paix sociale. Malgré les différences, tant l'enseignement éthique bouddhiste que l'enseignement chrétien sur le respect de la vie, se base sur la recherche du bien commun fondé sur la bonté et la compassion. Les participants ont reconnu que le dialogue entre bouddhistes et chrétiens doit se fortifier pour faire face aux nouveaux défis, comme les menaces à la vie humaine, la pauvreté, la faim, les maladies endémiques, la violence, la guerre, qui déprécient la sainteté de la vie humaine et empoisonnent la société.

AUDIENCES


Cité du Vatican 20 mai 2013 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce matin:

Le Cardinal Darío Castrillón Hoyos.

Neuf prélats de la Conférence épiscopale de Sicile (Italie), en visite Ad Limina:

Mgr.Salvatore Gristina, Archevêque de Catania.

Mgr.Salvatore Pappalardo, Archevêque de Siracusa.

Mgr.Calogero La Piana, SDB, Archevêque de Messina - Lipari - Santa Lucia del Mela.

Mgr.Ignazio Zambito, Evêque de Patti.

Mgr.Paolo Urso, Evêque de Ragusa.

Mgr.Salvatore Muratore, Evêque de Nicosia.

Mgr.Antonio Staglianò, Evêque de Noto.

Mgr.Calogero Peri, OFM.Cap, Evêque de Caltagirone.

Mgr.Antonino Raspanti, Administrateur d'Arcireale.

Le Cardinal Robert Sarah, Président du Conseil pontifical Cor Unum.

Dans l'après-midi, il devrait recevoir neuf prélats de la Conférence épiscopale de Sicile (Italie), en visite Ad Limina:

Le Cardinal Paolo Romero, Archevêque de Palermo et Administrateur apostolique du diocèse de Piana degli Albanesi, accompagné de son Auxiliaire, Mgr.Carmelo Cuttitta.

Mgr.Francesco Montenegro, Archevêque d'Agrigento.

Mgr.Michele Pennisi, Archevêque de Monreale.

Mgr.Alessandro Plotti, Administrateur apostolique du diocèse de Trapani.

Mgr.Vincenzo Manzella, Evêque de Cefalù.

Mgr.Mario Russotto, Evêque de Caltanissetta.

Mgr.Domenico Mogavero, Evêque de Mazara del Vallo.

Mgr.Giovanni Bongiovanni, Administrateur diocésain de Piazza Armerina.

Samedi dernier, 18 mai, il avait successivement reçu:

Mgr.Miroslaw Adamczyk, Nonce apostolique au Liberia.

Mgr.Gerhard Ludwig Müller, Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi.

AUTRES ACTES PONTIFICAUX

Cité du Vatican, 18 mai 2013 (VIS). Le Saint-Père a nommé Mgr.William Goh, Archevêque de Singapour (superficie 639, population 5.076.700, catholiques 189.094, prêtres 134, religieux 343), à Singapour. Jusqu'ici Coadjuteur de ce même diocèse, il succède à Mgr.Nicholas Chia Yeck Joo, dont la renonciation a été accepté pour limite d'âge.

Samedi dernier, 18 mai, il avait nommé:

Mgr.Michael W.Banach, Nonce apostolique aux Salomon, déjà Nonce en Papouasie - Nouvelle Guinée.

Mgr.Manuel José Macário do Nascimento Clemente, Patriarche de Lisbonne (superficie 3.735, population 2.235.000, catholiques 1.869.000, prêtres 604, diacres 79, religieux 1.507), au Portugal. Jusqu'ici Evêque de Porto (Portugal), il succède au Cardinal José da Cruz Policarpo, dont la renonciation a été acceptée pour limite d'âge.

Mgr,Józef Piotr Kupny, Archevêque de Wrocław (superficie 8.850, population 1.200.300, catholiques 1.153.600, prêtres 858, religieux 1.204), en Pologne. Jusqu'ici Auxiliaire de l'Archevêque de Katowice (Pologne), il succède à Mgr.Marian Golebiewski, dont la renonciation a été acceptée pour limite d'âge.

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