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Le Vatican Information Service (VIS) est un service d'information de la Salle-de-Presse du Saint-Siège. Il propose des informations sur le Magistère et l'activité pastorale du Saint-Père et de la Curie Romaine... []

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vendredi 22 janvier 2016

Visite du Président de la Dominique


Cité du Vatican, 22 janvier 2016 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce matin le Président de la Dominique M.Charles Angelo Savarin, qui s'est ensuite entretenu avec le Cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d'Etat, accompagné par Mgr.Paul Richard Gallagher, Secrétaire pour les rapports avec les états: Ayant pris acte de la qualité de leurs relations et du caractère fructueux des rapports Eglise Etat, les parties ont salué la contribution de cette dernière, tant dans la promotion de la dignité de la personne que dans la formation des jeunes ou l'assistance aux plus défavorisés. Elles ont ensuite évoqué certains problèmes internationaux comme régionaux, en particulier les changements climatiques et les catastrophes naturelles qui causent de graves dégâts mais aussi des pertes humaines dans l'île caraïbe. 

Recommandations aux juges matrimoniaux


Cité du Vatican, 21 janvier 2016 (VIS). Le Saint-Père s'est adressé ce matin aux membres de la Rote Romaine à l'occasion de l'inauguration de leur année judiciaire, redisant l'importance de son ministère pour le Successeur de Pierre: ''L'Eglise est inséparable de la famille dans sa proclamation du dessein de Dieu. Créateur et Rédempteur de l'homme, il charge l'Eglise de dire la sacralité et la beauté de l'institution familiale. C'est une mission toujours actuelle, tout particulièrement de notre temps''. Définissant la Rote comme tribunal de la famille, le Saint-Père a souligné une autre de ses prérogatives: Elle est la cour de la vérité du lien sacré. Et ces deux aspects sont complémentaires. L'Eglise, en effet, peut montrer la miséricorde et l'amour indéfectible de Dieu pour les familles, en particulier lorsqu'elles sont blessées par le péché et les épreuves de la vie. En même temps, elle doit proclamer la vérité essentielle du mariage selon le dessein de Dieu. Ce service est principalement confiée au Pape et les évêques". Puis il a évoqué les récents synodes sur la famille qui ont permis un ''sage et profond discernement grâce auquel l'Eglise, entre autres choses, a indiqué le monde qu'il ne peut y avoir de confusion entre la famille aimée Dieu et toute autre union''. L'activité de la Rote est "à la fois de juger et de contribuer à un apprentissage continu, de favoriser aussi l'Opus Veritatis. Quand l'Eglise, à travers votre service, déclare la vérité sur le mariage pour le bien des fidèles, elle tient compte des circonstances malheureuses de la vie... L'objectif est de sortir de l'erreur pour toujours vivre dans l'amour miséricordieux du Christ et de l'Eglise''.


"Dans divers domaines, l'Eglise contribue à accompagner l'être humain toute sa vie... Si la famille peut se dire Eglise domestique, l'Eglise est d'une certaine façon la famille de Dieu... Et parce qu'elle est mère et maîtresse, l'Eglise sait que, parmi les chrétiens, certains ont une foi solide, formé par la charité, renforcée par une bonne catéchèse et nourrie par la prière et la vie sacramentelle, tandis que d'autres ont une foi faible ou négligente, sont sans formation ni éducation, ou bien les ont oubliées... C'est pourquoi il faut réaffirmer clairement que la qualité de la foi est une condition essentielle du consentement matrimonial, qui, selon la doctrine de toujours, ne peut être vicié qu'au plan naturel car l'Habitus Fidei est infusé au moment du baptême... Il est pas rare que le couple soit influencé par l'Instinctus Naturae au moment du mariage, ce qui limite la plénitude de connaissance de Dieu par les époux... Ainsi les carences dans la formation de la foi, et l'erreur concernant l'unité, l'indissolubilité et la dignité sacramentelle du mariage, peuvent vicier un consentement matrimonial alors seulement déterminé par la volonté. C'est précisément pourquoi les erreurs affectant la nature sacramentelle du mariage doivent être pesées avec grand soin... Avec un sens renouvelé de sa responsabilité, l'Eglise doit continuer à proposer le mariage avec tous ses éléments essentiels: enfants, unité, indissolubilité sacramentelle, non pas comme idéal réservé à quelques-uns...mais comme une réalité que, dans la grâce du Christ, tous les fidèles baptisés peuvent vivre. D'où l'urgence pastorale qui concerne toutes les structures de l'Eglise, qui pousse la convergence vers un but commun visant à une correcte préparation du mariage, dans une sorte de nouveau catéchuménat, comme l'ont souhaité certains pères synodaux".

Message pour la 50 Journée mondiale des communications sociales


Cité du Vatican, 21 janvier 2016 (VIS). "Communication et miséricorde, une rencontre féconde", tel est le titre choisi par le Saint-Père pour son Message de la Journée mondiale des communications sociales 2016. Le document porte la date du 24 janvier, fête de saint François de Sales, patron des journalistes. En voici le texte intégral:

"L’Année Sainte de la Miséricorde nous invite à réfléchir sur le rapport entre communication et miséricorde. En effet l’Eglise, unie au Christ, incarnation vivante de Dieu miséricordieux, est appelée à vivre la miséricorde comme un trait distinctif de tout son être et de tout son agir. Ce que nous disons et la manière dont nous le disons, chaque parole et chaque geste, devrait pouvoir exprimer la compassion, la tendresse et le pardon de Dieu pour tous. L’amour, par nature, est communication, il conduit à s’ouvrir et non pas à s’isoler. Et si notre cœur et nos gestes sont animés par la charité, par l’amour divin, notre communication sera porteuse de la force de Dieu. En tant qu’enfants de Dieu, nous sommes appelés à communiquer avec tous, sans exclusion. En particulier, c’est le propre du langage et des actions de l’Eglise que de transmettre la miséricorde, en sorte de toucher les cœurs des personnes et de les soutenir sur le chemin vers la plénitude de la vie que Jésus-Christ, envoyé par le Père, est venu apporter à tous. Il s’agit d’accueillir en nous et de répandre autour de nous la chaleur de l’Eglise Mère, pour que Jésus soit connu et aimé. Et ce avec cette chaleur qui donne consistance aux paroles de la foi et qui allume dans la prédication et dans le témoignage l’étincelle qui les rend vivantes".

"La communication a le pouvoir de créer des ponts, de favoriser la rencontre et l’inclusion, enrichissant ainsi la société. Comme il est beau de voir des personnes engagées à choisir avec soin des paroles et des gestes pour dépasser les incompréhensions, guérir la mémoire blessée et construire la paix et l’harmonie. Les paroles peuvent jeter des ponts entre les personnes et les familles, les groupes sociaux et les peuples, que ce soit dans le domaine physique ou dans le domaine numérique. Que les paroles et les actions soient donc telles qu’elles nous aident à sortir des cercles vicieux des condamnations et des vengeances, qui continuent à piéger les individus et les nations, et qui conduisent à s’exprimer avec des messages de haine. La parole du chrétien, au contraire, se propose de faire grandir la communion et, même quand il faut condamner le mal avec fermeté, elle cherche à ne jamais briser la relation et la communication. Je voudrais donc inviter toutes les personnes de bonne volonté à redécouvrir le pouvoir de la miséricorde de guérir les relations déchirées, et de ramener la paix et l’harmonie entre les familles et dans les communautés. Nous savons tous de quelle manière les vieilles blessures et les ressentiments peuvent piéger les personnes et les empêcher de communiquer et de se réconcilier. Et ceci vaut aussi pour les relations entre les peuples. Dans tous ces cas, la miséricorde est capable de créer une nouvelle manière de parler et de dialoguer, comme l’a ainsi très bien exprimé Shakespeare: La miséricorde n’est pas une obligation. Elle descend du ciel comme la fraîcheur de la pluie sur la terre. Elle est une double bénédiction. Elle bénit celui qui la donne et celui qui la reçoit. Il est souhaitable que le langage de la politique et de la diplomatie se laisse aussi inspirer par la miséricorde, qui ne donne jamais rien pour perdu. Je fais appel surtout à tous ceux qui ont des responsabilités institutionnelles, politiques et dans la formation de l’opinion publique, pour qu’ils soient toujours vigilants sur la manière de s’exprimer envers celui qui pense ou agit autrement, et aussi envers celui qui peut s’être trompé. Il est facile de céder à la tentation d’exploiter de semblables situations et d’alimenter ainsi les flammes de la défiance, de la peur, de la haine. Il faut au contraire du courage pour orienter les personnes dans des processus de réconciliation. Et c’est justement cette audace positive et créative qui offre de vraies solutions à de vieux conflits, et l’occasion de réaliser une paix durable. Bienheureux les miséricordieux, parce qu’ils obtiendront miséricorde. Bienheureux les artisans de paix, parce qu’ils seront appelés fils de Dieu".

"Comme je voudrais que notre manière de communiquer, et aussi notre service de pasteurs dans l’Eglise, n’exprime jamais l’orgueil fier du triomphe sur un ennemi, ni n’humilie ceux que la mentalité du monde considère comme perdants et à rejeter! La miséricorde peut aider à tempérer les adversités de la vie et à offrir de la chaleur à tous ceux qui ont seulement connu la froideur du jugement. Que le style de notre communication soit en mesure de dépasser la logique qui sépare nettement les pécheurs des justes. Nous pouvons et devons juger des situations de péché, de violence, corruption ou exploitation, mais nous ne pouvons pas juger les personnes, parce que seul Dieu peut lire en profondeur dans leur cœur. C’est notre devoir d’avertir celui qui se trompe, en dénonçant la méchanceté et l’injustice de certains comportements, afin de libérer les victimes et de soulager celui qui est tombé. L’Evangile de Jean nous rappelle que la vérité nous rendra libres. Cette vérité est, en définitive, le Christ lui-même, dont la douce miséricorde est la mesure de notre manière d’annoncer la vérité et de condamner l’injustice. C’est notre principal devoir d’affirmer la vérité avec amour. Seules les paroles prononcées avec amour et accompagnées de douceur et de miséricorde touchent les cœurs des pécheurs que nous sommes. Des paroles et des gestes durs ou moralisants risquent d’aliéner plus tard ceux que nous voudrions conduire à la conversion et à la liberté, en renforçant leur sens du refus et de la défense. Certains pensent qu’une vision de la société enracinée dans la miséricorde serait de façon injustifiée idéaliste ou excessivement indulgente. Mais essayons de repenser à nos premières expériences de relations au sein de la famille. Nos parents nous ont aimés et appréciés pour ce que nous sommes, plus que pour nos capacités et nos succès. Les parents veulent naturellement le meilleur pour leurs enfants, mais leur amour n’est jamais conditionné par le fait d’atteindre des objectifs. La maison paternelle est le lieu où tu es toujours accueilli. Je voudrais vous encourager tous à penser la société humaine non comme un espace où des étrangers rivalisent et cherchent à dominer, mais plutôt comme une maison ou une famille, où la porte est toujours ouverte et où l’on cherche à s’accueillir réciproquement. C’est pourquoi il est fondamental d’écouter. Communiquer signifie partager, et le partage exige l’écoute, l’accueil. Ecouter est beaucoup plus qu’entendre. Entendre concerne le domaine de l’information. Ecouter, en revanche, renvoie à celui de la communication, et exige la proximité. L’écoute nous permet d’avoir l’attitude juste, en sortant de la condition tranquille de spectateurs, d’auditeurs, de consommateurs. Ecouter signifie aussi être capable de partager des questions et des doutes, de faire un chemin côte à côte, de s’affranchir de toute présomption de toute-puissance et de mettre humblement ses capacités et ses dons au service du bien commun. Ecouter n’est jamais facile. Parfois il est plus confortable de faire le sourd. Ecouter signifie prêter attention, avoir le désir de comprendre, de valoriser, respecter, garder la parole de l’autre. Dans l’écoute une sorte de martyre se consume, un sacrifice de soi-même dans lequel le geste sacré accompli par Moïse devant le buisson ardent se renouvelle: Retirer ses sandales sur la terre sainte de la rencontre avec l’autre qui me parle. Savoir écouter est une grâce immense, c’est un don qu’il faut invoquer pour ensuite s’exercer à le pratiquer".


"Les e-mail, sms, réseaux sociaux, chat peuvent, eux aussi, être des formes de communication pleinement humaines. Ce n’est pas la technologie qui décide si la communication est authentique ou non, mais le cœur de l’homme et sa capacité de bien user des moyens mis à sa disposition. Les réseaux sociaux sont capables de favoriser les relations et de promouvoir le bien de la société, mais ils peuvent aussi conduire plus tard à des polarisations et des divisions entre les personnes et les groupes. Le domaine numérique est une place, un lieu de rencontre, où l’on peut caresser ou blesser, avoir une discussion profitable ou faire un lynchage moral. Je prie pour que l’Année jubilaire vécue dans la miséricorde nous rende plus ouverts au dialogue pour mieux nous connaître et nous comprendre. Qu’elle chasse toute forme de fermeture et de mépris. Qu’elle repousse toute forme de violence et de discrimination. Une véritable citoyenneté se construit aussi en réseau. L’accès aux réseaux numériques comporte une responsabilité pour l’autre, que nous ne voyons pas mais qui est réel, il a sa dignité qui doit être respectée. Le réseau peut être bien utilisé pour faire grandir une société saine et ouverte au partage. La communication, ses lieux et ses instruments, ont comporté un élargissement des horizons pour beaucoup de personnes. C’est un don de Dieu, et c’est aussi une grande responsabilité. J’aime définir ce pouvoir de la communication comme proximité. La rencontre entre la communication et la miséricorde est féconde dans la mesure où elle génère une proximité qui prend soin, réconforte, guérit, accompagne et fait la fête. Dans un monde divisé, fragmenté, polarisé, communiquer avec miséricorde signifie contribuer à la bonne, libre et solide proximité entre les enfants de Dieu et les frères en humanité".

Présentation du Message pour la Journée des communications sociales


Cité du Vatican, 22 janvier 2016 (VIS). Ce matin, près la Salle de Presse a eu lieu la présentation du Message du Saint-Père pour la 50 Journée mondiale des communications sociales. Mgr.Dario Viganò, Préfet du Secrétariat pour la communication, assisté de M.Paolo Ruffini, Directeur de TV2000, et Mme.Marinella Perroni, Professeur à l'Athénée St.Anselme, a d'emblée rappelé que la Journée mondiale du 8 mai prochain est d'autant plus importante qu'elle coïncide avec le cinquantenaire de la clôture du concile Vatican II et son Décret Inter Mirifica consacré aux moyens de communication. Seule journée mondiale établie par le Concile, elle tombe cette année au coeur du Jubilé de la Miséricorde à laquelle le message fait directement référence. Elle est aussi la première Journée mondiale des communications sociales depuis l'institution du Secrétariat pour la communication. Après ce préambule, Mgr.Viganó a souligné que la miséricorde est la marque d'agir et d'être de l'Eglise. La relation entre l'Eglise et de la miséricorde n'est pas extérieure ou accidentaelle. Elle est intrinsèque, et même constitutive, puisqu'elle affecte directement l'identité de l'Eglise. Pentecôte est le début de l'expérience historique de l'Eglise, qui porte la mémoire de Jésus et ne peut donc se refuser à transmettre son message. Et elle ne peut le transmette qu'avec sa miséricorde. Ces paroles sont attendues de ceux qui pensent être éloignés de la miséricorde de Dieu, dont nous avons souvent une image déformée de juge impitoyable, d'un Dieu incapable de se pencher sur la souffrance... Pour les hommes et femmes d'aujourd'hui, pour l'Eglise de Jésus, ce message est à offrir comme antidote aux préceptes de qui accuse le relativisme et la perte des valeurs... Appelée à participer à la mission messianique, l'Eglise doit être capable de vivre dans une humanité authentique, en apprenant de Jésus comment exprimer sa miséricorde en espérance et par des gestes... Le rapport entre le silence et l'écoute, a été le deuxième point de l'intervention de Mgr.Viganò qui, citant le philosophe suisse Max Picard, a expliqué comment cet espace s'atrophie dans un contexte de communication bruyante et envahissante. Ceci minimise la capacité d'écoute des gens et favorise leur inattention... Ecouter est donc une nécessité pour le développement de la communication et... la signification de chaque mot doit être comprise... D'où l'attention constante accordée par le Pape François à cette dichotomie. Benoît XVI a également consacré beaucoup d'attention à cet argument quand il a rappelé dans son message pour la Journée 2012 écrit que lorsque les messages et l'information sont surabondants, le silence devient essentiel pour distinguer l'important de l'insignifiant ou du secondaire". Puis Mgr.Viganò a cité Dietrich Bonhoeffer, pour rappeler que les miséricordieux ont un amour irrésistible pour les pauvres, les malades, les pauvres, pour toute personne humiliée et victime de violence, pour ceux qui souffrent d'injustice ou sont laissés de côté, pour ceux qui sont tourmentés et humiliés, pour ceux qui sont tombés dans le péché et la culpabilité. Aucune misère n'est trop profonde, ni de péché assez horrible pour ne pas y appliquer la miséricorde... La béatitude de la miséricorde que Eglise est appelée à vivre, principalement dans ses relations, doit tendre à ce que la communauté chrétienne ne soit pas un groupe élitiste. Saint Paul...invite chacun de nous à reconnaître comme point de départ de la vie chrétienne et ecclésiale l'amour de Dieu et, par la grâce, notre participation à sa sainteté".

Pour sa part, M.Ruffini a parlé de la nécessité d'une télévision capable de regarder le monde avec des yeux de miséricorde, sans crainte d'être immergée dans la réalité, sans chercher à se fermer sur des études théoriques mais en faisant le choix de la proximité. La proximité est le critère pour comprendre, entendre et être surprise, pour agir et faire des choix... Une télévision qui rassemble des personnes réelles dans un monde réel...fuit les stéréotypes ou le cercle vicieux des condamnations ou des rétorsions".

Promulgation de décrets


Cité du Vatican, 22 2016 (VIS). A la suite de l'audience accordée hier après-midi au Cardinal Angelo Amato, SDB, Préfet de la Congrégation pour les causes des saints, le Pape a ordonné la promulgation des décrets relatifs:

au MIRACLE attribué

au bienheureux Stanislas de Jésus Marie (Jan Papczyński 1631 - 1701), religieux polonais, fondateur des Clers mariaux de l’Immaculée.

au bienheureux José Gabriel del Rosario Brochero (1840 - 1914), prêtre séculier argentin.

au bienheureux José Sánchez del Río (1913 - 1928), jeune laïc mexicain, martyr.

au serviteur de Dieu Francesco Maria Greco (1857 - 1931), prêtre séculier italien, fondateur des Petites Soeurs ouvrières des Sacrés Coeurs.

    à la servante de Dieu Elisabetta Sanna (1788 - 1857), veuve italienne et tercière franciscaine.
au MARTYRE

du serviteur de Dieu Engelmar Unzeitig (Hubert 1911 - 1945), prêtre et religieux allemand des Missionnaires de Mariannhill, tué en haine de la foi.

du serviteur de Dieu Genaro Fueyo Castañón, prêtre diocésain espagnol, et ses trois compagnons laïc, Laici, tués en 1936 en haine de la foi.

    du serviteur de Dieu Iustus Takayama Ukon (vers 1552 - 1615), laïc japonais tué en haine de la foi.

aux VERTUS HEROÏQUES

du serviteur de Dieu Arsenio da Trigolo (Giuseppe Migliavacca 1849 - 1909), prêtre capucin italien, fondateur des Soeurs de Marie Consolatrice.


de la servante de Dieu Maria Luisa del Santissimo Sacramento (Maria Velotti 1826 - 1886), tercière franciscaine italienne, fondatrice des Adoratrices de la Ste.Croix.

Audiences


Cité du Vatican, 22 janvier 2016 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce matin:

Le Cardinal Gerhard Ludwig Müller, Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi.

M.Timothy Donald Cook, Administrateur Délégué de Apple.

Mgr.Pio Vito Pinto, Doyen du Tribunal de la Rote Romaine.

Hier, il avait reçu le Cardinal Angelo Amato; SDB, Préfet de la Congrégation pour les causes des saints.


Nota bene


Cité du Vatican, 22 janvier 2016 (VIS). Une erreur s'est glissée dans le premier article du bulletin d'hier: La lettre du Saint-Père au Cardinal Sarah remontait au 20 décembre 2014 et non 2015.  
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