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Le Vatican Information Service (VIS) est un service d'information de la Salle-de-Presse du Saint-Siège. Il propose des informations sur le Magistère et l'activité pastorale du Saint-Père et de la Curie Romaine... []

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lundi 28 janvier 2013

TRAGIQUE INCENDIE AU BRESIL

Cite du Vatican, 28 janvier 2013 (VIS). Le Saint-Père a fait parvenir à l'Archevêque de Santa Maria (Brésil), un télégramme de condoléances, à la suite de l'incendie qui a causé samedi soir dans une discothèque de cette ville la mort de 231 personnes. Confiant les victimes à la divine miséricorde, Benoît XVI prie pour le prompt rétablissement des blessés ainsi que pour toutes les personnes frappées par cette tragédie. "Consterné par la mort de tant de jeunes gens, il demande de faire savoir aux familles sa solidarité spirituelle" et ses encouragements à qui leur porte assistance.

INDULGENCES POUR LA JOURNEE MONDIALE DU MALADE

Cité du Vatican, 28 janvier 2013 (VIS). Benoît XVI concédera aux fidèles des indulgences spéciales à l'occasion de la XXI Journée mondiale du malade (7 - 11 février, Altötting, Allemagne), selon le décret publié aujourd'hui et signé du Cardinal Manuel Monteiro de Castro, Grand Pénitencier.

Les personnes qui, selon l'exemple du Bon Samaritain, "dans un esprit de foi et avec une âme miséricordieuse, se mettent au service de leurs frères souffrants ou qui, malades, supportent les douleurs et les adversités de la vie...offrant un témoignage de foi à travers...leur souffrance", obtiendront l'indulgence plénière, une fois par jour et selon les conditions habituelles (confession sacramentelle, communion eucharistique et prière aux intentions du Pape), applicable en suffrage des âmes des fidèles défunts:

A. Chaque fois que, du 7 au 11 février prochain, dans le sanctuaire marial de Altötting, ou en quelque autre lieu établi par l'autorité ecclésiastique, il participeront à une cérémonie pour prier Dieu pour les propositions de la Journée mondiale du malade, en récitant le Pater, le Credo et une invocation à la Vierge Marie.

Les fidèles qui, dans les hôpitaux publics ou en quelque maison privée, assistent charitablement les malades, comme le Bon Samaritain, et, en raison de leur service, ne peuvent pas participer aux fonctions indiquées ci-dessus, obtiendront le même don de l'indulgence plénière si pendant ces journées, ils accordent généreusement au moins pour quelques heures leur assistance charitable comme s'ils le faisaient pour le Christ lui-même, et récitent le Pater, le Credo et une invocation à la Vierge, avec une âme détachée de tout péché et la volonté d'accomplir, dès que possible, les conditions demandées pour l'obtention de l'indulgence plénière.

Les fidèles qui à cause de la maladie, de leur âge avancé ou pour toute autre raison similaire, sont empêchés de prendre part aux cérémonies indiquées, obtiendront l'indulgence plénière, si, ayant une âme détachée de tout péché et la volonté d'accomplir, dès que possible, les conditions demandées, ils participent spirituellement aux fonctions sacrées aux jours déterminés, particulièrement alors que les célébrations liturgiques et le message du Souverain Pontife seront transmis par télévision et par radio, s'ils prient dévotement pour tous les malades et offrent à Dieu, par Marie, Salus Infirmorum, leurs souffrances physiques et spirituelles".

B. L'indulgence partielle est obtenue pour tous les fidèles, chaque fois qu'ils adresseront au Dieu miséricordieux, aux jours indiqués, des prières pour venir en aide aux malades dans l'esprit de cette Année de la foi.

LE SENS CHRETIEN DU CARPE DIEM

Cité du Vatican, 27 janvier 2013 (VIS). "Chaque moment peut devenir un aujourd'hui propice à notre conversion. Chaque jour peut devenir l'aujourd'hui salvifique, parce que le salut est une histoire qui continue pour l'Eglise et pour chaque disciple du Christ. Voilà le sens chrétien du Carpe Diem: cueille l'aujourd'hui où Dieu t'appelle pour te donner le salut!". Voici les paroles adressées par le Pape aux fidèles rassemblés Place St.Pierre pour l'angélus domincal. Comme de coutume, Benoît XVI a commenté les lectures du jour, notamment l'évangile dans lequel saint Luc évoque la présence de Jésus un samedi dans la synagogue de Nazareth. "En bon observateur, le Seigneur ne se soustrait pas au rythme liturgique hebdomadaire et s'unit à l'assemblée de ses compagnons dans la prière et à l'écoute de l'Ecriture. Le rite prévoit la lecture d'un texte de la Torah ou des prophètes, suivie d'un commentaire. Ce jour-là, Jésus se lève pour lire et trouve un passage du prophète Isaïe qui commence ainsi: L'esprit du Seigneur Dieu est sur moi, parce que le Seigneur m'a consacré par l'onction; il m'a envoyé pour porter la bonne nouvelle aux malheureux... La lecture finie, Jésus, dans un silence plein d'attention, dit: Aujourd'hui s'est accomplie cette Ecriture que vous venez d'entendre. Saint Cyrille d'Alexandrie affirme que l'aujourd'hui, placé entre la première et la dernière venue du Christ, est lié à la capacité du croyant d'écouter et de reconnaître ses torts. Mais, dans un sens encore plus radical, c'est Jésus lui-même l'aujourd'hui du salut dans l'histoire, parce qu'il porte à son accomplissement la plénitude de la rédemption". Ce passage de l'Evangile nous interpelle encore aujourd'hui. Il nous fait penser avant tout à notre mode de vivre le dimanche: jour de repos et de la famille, mais avant tout, journée consacrée au Seigneur, participant à l'Eucharistie, dans laquelle nous nous nourrissons du Corps et du Sang du Christ et de sa Parole de vie. En deuxième lieu, dans notre temps dispersé et distrait, cet Evangile nous invite à nous questionner sur notre capacité d'écoute. Avant de pouvoir parler de Dieu et avec Dieu, encore faut-il l'écouter, et la liturgie de l'Eglise est l'école de cette écoute du Seigneur qui nous parle". Après l'Angélus, le Pape a lâché deux colombes depuis sa fenêtre, Celles-ci lui ont été remises par un petit garçon et une petite fille appartenant à l'Action catholique italienne qui concluait, avec la Caravane de la Paix, ce mois de janvier traditionnellement consacré à ce thème.

JOURNEE DE LA MEMOIRE

Cité du Vatican, 27 janvier 2013 (VIS). Après la prière mariale, Benoît XVI a rappelé que c'est aujourd'hui la Journée mondiale de la mémoire, qui commémore les victimes du nazisme: "Le souvenir de cette gigantesque tragédie, qui frappa principalement le peuple juif, doit être un avertissement permanent à ne jamais voir se reproduire les horreurs passées, à abandonner toute forme de haine et de racisme, à développer le respect de toute personne". Mais c'est aussi la LX Journée de lutte contre la lèpre. Et le Pape a renouvelé sa solidarité avec toutes les personnes frappées par ce fléau, encourageant les chercheurs, les médecins et les volontaires, tout particulièrement ceux des institutions catholiques ou de l'Association Follereau: "Pour tous j'invoque le soutien spirituel de saint Damien de Veuster et de sainte Marianne Cope, qui ont offert leur vie au service des lépreux. Ce dimanche est aussi une journée spéciale d'intercession pour la paix en Terre Sainte, et je remercie tous ceux qui s'y appliquent de par le monde". Le Pape s'est enfin adressé aux polonais pour dire s'unir à l'Eglise de Pologne et rendre grâce pour la vie et le ministère du défunt Cardinal Primat Jozef Glemp.

MARIAGE ET FOI

Cité du Vatican, 26 janvier 2013 (VIS). A l'occasion de l'ouverture de l'année judiciaire, le Saint-Père a reçu, ce matin les membres du Tribunal de la Rote romaine. Son discours, dont suivent de larges extraits, a évoqué le rapport entre foi et mariage, à la lumière de "la crise de foi actuelle qui touche diverses parties du monde et qui porte avec elle une crise de la société conjugale":

"Le Code de droit canonique désigne la réalité naturelle du mariage comme pacte irrévocable entre un homme et une femme. La confiance réciproque, en effet, est la base indispensable de tout pacte ou alliance. Au plan théologique, le rapport entre foi et mariage prend une signification encore plus profonde. Le lien conjugal, en effet, bien que réalité naturelle, a été élevé par le Christ parmi les baptisés à la dignité de sacrement".

"La culture contemporaine marquée par un subjectivisme et un relativisme éthique et religieux accentués, place la personne et la famille devant de grands défis. En premier lieu, face à la question de la capacité de l'être humain de se lier et celle de savoir si un lien qui dure toute la vie est vraiment possible... Une idée est en effet très répandue actuellement: penser que la personne devient elle-même en restant autonome et en n'entrant en contact avec l'autre qu'à travers des relations qui peuvent être interrompues à tout moment... Il n'échappe à personne combien le choix de l'être humain de se lier par un lien qui dure toute la vie influence la perspective de base de chacun, selon qu'elle soit ancrée sur un plan purement humain ou qu'elle s'épanouisse à la lumière de la foi dans le Seigneur... Celui qui demeure en moi, et moi en lui, porte beaucoup de fruits, car hors de moi vous ne pouvez rien faire: c'est ainsi que Jésus s'adressait à ses disciples, en leur rappelant l'incapacité substantielle de l'être humain d'accomplir seul ce qui est nécessaire à la réalisation du vrai bien. Le refus de la proposition divine, en effet, conduit à un profond déséquilibre dans toutes les relations humaines, y compris la relation matrimoniale et entraîne une compréhension erronée de la liberté et de l'auto-réalisation qui, ajoutée à la fuite devant la souffrance patiemment supportée, condamne l'homme à se refermer sur son égoïsme et son égocentrisme. Au contraire, l'accueil de la foi rend l'homme capable du don de soi...découvrant l'amplitude d'être une personne humaine".

"La foi en Dieu, soutenue par la grâce divine, est donc un élément très important pour vivre le dévouement mutuel et la fidélité conjugale. Il ne s'agit pas là d'affirmer que la fidélité comme les autres propriétés, ne sont pas possibles dans le mariage naturel contracté entre non baptisés. Celui-ci, en effet, n'est pas dépourvu des biens qui proviennent du Dieu créateur et qui s'inscrivent d'une manière inchoative dans l'amour sponsal qui unit le Christ et l'Eglise. Cependant, la fermeture à Dieu ou le refus de la dimension sacrée de l'union conjugale et de sa valeur dans l'ordre de la grâce, rend ardue l'incarnation concrète du modèle très élevé du mariage conçu par l'Eglise selon le dessein de Dieu, pouvant aller jusqu'à atteindre la validité même du pacte au cas où, comme le précise la jurisprudence de ce tribunal, elle se traduirait par un refus de principe de l'obligation conjugale de fidélité ou bien des autres éléments ou propriétés essentielles du mariage... Dans sa célèbre lettre à la femme, évoquant la vie matrimoniale marquée par la foi, Tertullien écrit que les époux chrétiens sont vraiment deux en une seule chair et là où la chair est unique, l'esprit est unique. Ils prient ensemble, s'inclinent ensemble et jeûnent ensemble. Chacun enseigne à l'autre, l'un honore l'autre, l'un soutient l'autre... Les saints qui ont vécu l'union matrimoniale et familiale dans la perspective chrétienne, ont aussi réussi à dépasser les situations les plus adverses, obtenant parfois la sanctification du conjoint et des enfants avec un amour toujours renforcé par une solide confiance en Dieu, par une sincère piété religieuse et par une vie sacramentelle intense. Ces expériences, marquées par la foi font comprendre combien est précieux, aujourd'hui encore, le sacrifice offert par le conjoint abandonné ou qui a subi le divorce, s'il réussit – en reconnaissant l'indissolubilité du lien matrimonial valide – à ne pas se laisser entrainer dans une nouvelle union... Alors son témoignage de fidélité et de cohérence chrétienne est d'une valeur toute particulière pour le monde et pour l'Eglise".

"Je voudrais enfin m'arrêter brièvement sur le Bonum Coniugum. La foi est importante dans la réalisation de l'authentique bien conjugal qui consiste simplement à toujours vouloir le bien de l'autre, selon un véritable et indissoluble Consortium Vitæ. En vérité, il y a, dans la proposition faite aux époux chrétiens de vivre une vraie Communio Coniugalis, un dynamisme de la foi par lequel la Confessio, réponse personnelle sincère à l'annonce salvifique, implique le croyant dans son élan d'amour de Dieu. Confessio et Caritas sont les deux modalités dans lesquelles Dieu nous engage, nous fait agir avec lui, en lui et pour l'humanité, pour sa créature... La Confessio n'est pas une chose abstraite, elle est caritas, elle est amour. Seulement ainsi, elle est le reflet de la vérité divine qui, en tant que vérité, est également inséparablement amour... C'est seulement à travers la flamme de la charité, que la présence de l'Evangile n'est plus seulement parole mais réalité vécue. En d'autres termes, s'il est vrai que la foi sans la charité ne porte pas de fruit et que la charité sans la foi est un sentiment constamment en proie au doute, on doit conclure que foi et charité se réclament réciproquement si bien que l'une permet à l'autre de réaliser son chemin. Si cela vaut largement pour la vie communautaire, cela vaut encore plus pour l'union matrimoniale. C'est en elle, en effet, que la foi fait grandir et fructifier l'amour des époux, en donnant de l'espace à la présence de Dieu Trinité et en faisant de la vie conjugale ainsi vécue, une joyeuse nouvelle devant le monde".

"Je reconnais les difficultés, d'un point de vue juridique et pratique, d'énucléer l'élément essentiel du Bonum Coniugum, compris jusqu'ici principalement en relation aux hypothèses d'incapacité. Le Bonum Coniugum prend aussi de l'importance dans le domaine de la simulation du consentement. Certainement, dans les cas soumis à votre jugement, c'est l'enquête in facto qui vérifiera l'éventuel fondement de ce chef de nullité, prédominant ou coexistant avec un autre chef des trois biens agostiniens, la procréativité, l'exclusivité et la perpétuité. On ne doit donc pas faire abstraction qu'il puisse exister des cas dans lesquels, justement en raison de l'absence de foi, le bien des conjoints devient compromis et donc exclu par le consentement même; par exemple, dans l'hypothèse de renversement de la part de l'un d'eux, à cause d'une conception erronée du lien nuptial, du principe de parité, ou bien dans l'hypothèse de refus de l'union à deux qui caractérise le lien matrimonial, en rapport avec l'exclusion coexistante possible de la fidélité et de l'usage de la copule accomplie Humano Modo. Je n'entends certainement pas, par ces considérations, suggérer un automatisme facile entre carence de foi et invalidité de l'union matrimoniale, mais plutôt souligner combien une telle carence peut, bien que non nécessaire, atteindre aussi les biens du mariage, du moment que la référence à l'ordre naturel voulu par Dieu est inhérent au pacte conjugal".

OECUMENISE ET DEPASSEMENT DES OBSTACLES

Cité du Vatican, 25 janvier 2013 (VIS). En la solennité de la conversion de l'apôtre des gentils et pour la conclusion de la Semaine de prière pour l'unité, Benoît XVI a célébré les secondes vêpres à 17 h 30' en la Basilique St.Paul Hors les murs. Etaient présentes les délégations des différentes Eglises et communautés chrétiennes, dont le Métropolite Gennadios, représentant le Patriarche oecuménique de Constantinople, et le Révérend Richardson, représentant l'Archevêque de Canterbury. Le partage de la même foi, a dit le Pape, est à la base de l'oecuménisme car, "don de Dieu, l'unité est inséparable de la foi... Professer la foi baptismale en Dieu, Père et Créateur, révélé en son Fils Jésus-Christ...unit déjà les chrétiens. Sans cette foi qui, de don de Dieu devient réponse de l'homme, le mouvement oecuménique se réduirait à une sorte de contrat d'intérêt commun... Les questions doctrinales ne doivent pas être relativisées ou minimisées, mais affrontées avec courage, fraternité et respect. Reflétant la priorité de la foi, le dialogue doit s'ouvrir à la volonté de Dieu dans la certitude de ce que nous ne pouvons seuls bâtir l'unité. C'est l'Esprit qui nous guide vers la pleine communion en nous faisant percevoir la richesse spirituelle des diverses confessions".

"Dans notre société, le message chrétien semble influencer de moins en moins la vie individuelle et communautaire. C'est un enjeu pour toutes les Eglises et communautés chrétiennes... En marche vers la pleine unité, nous devons accentuer la collaboration pratique entre tous les disciples du Christ afin de répandre la foi dans ce monde. Il y a aujourd'hui une grande attente de réconciliation, de dialogue et de compréhension...au nom de l'authenticité chrétienne... La véritable foi est inséparable de la sainteté personnelle et de la recherche de la justice". Rappelant que le thème de réflexion 2013 a été choisi par la Fédération universitaire catholique et de Conseil national des Eglises d'Inde, le Saint-Père a assuré prier pour tous les chrétiens de ce pays, "appelés à témoigner de la foi dans des conditions difficiles. Cheminer humblement avec Dieu signifie d'abord faire sienne la confiance radicale d'Abraham, imprimer la foi à nos espoirs et à nos aspirations, en dépassant les barrières de la haine ou du racisme, de la discrimination sociale et religieuse, qui divisent et blessent la société humaine".

La recherche de l'unité des chrétiens dans la vérité et dans l'amour "ne doit jamais perdre de vue que sa perception est oeuvre et don de l'Esprit, bien au-delà de nos efforts". Par conséquent "l'oecuménisme spirituel, la prière tout particulièrement, est au coeur du mouvement. L'oecuménisme ne donnera pas de fruits durables s'il n'est pas accompagné de gestes concrets de conversion, capables de réveiller les consciences et de favoriser la résolution des blessures passées". Une conversion authentique "est l'élément fondamental du parcours oecuménique. Il est crucial que la rénovation de la vie intérieure, coeur et âme, se reflète dans la vie quotidienne, par la disposition au dialogue et à la réconciliation, faisant de la démarche oecuménique un engagement partagé de compréhension, de respect et d'amour pour que le monde croit".

AUDIENCES

Cité du Vatican, 28 janvier 2013 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce matin en audiences séparées:

Le Cardinal Antonio Cañizares Llovera, Préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements.

Huit prélats de la Conférence épiscopale de Campanie (Italie), en visite Ad Limina:

Mgr.Andrea Mugione, Archevêque de Benevento.

Mgr.Pasquale Cascio, Archevêque de Sant'Angelo dei Lombardi-Conza-Nusco-Bisaccia.

Mgr.Michele De Rosa, Evêque de Cerreto Sannita-Telese-Sant'Agata dei Goti.

Mgr.Giovanni D'Alise, Evêque d'Ariano-Irpino-Lacedonia.

Mgr.Francesco Marino, Evêque d'Avellino.

Mgr.Ciro Miniero, Evêque de Vallo della Lucania.

Mgr.Antonio De Luca, CSSR, Evêque de Teggiano-Policastro.

Mgr.Beda Umberto Paluzzi, OSB, Abbé de l'abbaye territoriale de Montevergine.

Samedi dernier, 26 janvier, il avait successivement reçu:

Le Cardinal Marc Ouellet, PSS, Préfet de la Congrégation pour les évêques.

Mgr,Pio Vito Pinto, Doyen de la Rote Romaine et les membres de ce tribunal.

AUTRES ACTES PONTIFICAUX

Cité du Vatican, 26 janvier 2013 (VIS). Le Saint-Père a nommé:

Le P.Guy Charbonneau, PME, Evêque de Choluteca (superficie 5.775, population 700.000, catholiques 586.000, prêtres 28, religieux 67), au Honduras. L'Evêque élu, né en 1946 à Montréal (Canada), a prononcé ses voeux religieux en 1969 et a été ordonné prêtre en 1970. Il était jusqu'ici Supérieur Général de son ordre. Licencié en théologie et études bibliques, il a exercé son ministère pastoral au Honduras de 1970 à 2003: directeur spirituel près le petit séminaire diocésain de Choluteca, chargé de la pastorale des jeunes, coordinateur diocésain de la pastorale des vocations, professeur et recteur du petit puis du grand séminaire de Tegucigalpa, responsable national de la formation missionnaire et directeur des oeuvres missionnaires pontificales, assistant régional de la Société des missions du Québec. Rentré au Canada en 2003, il est élu Vicaire Général de son ordre.

L'Abbé Laurent Djalwana Lompo, Auxiliaire de l'Archevêque de Niamey (Niger). L'Evêque élu, né en 1967 à Koulbou (Niger) et ordonné prêtre en 1997, était jusqu'ici Vicaire Général de ce même diocèse. Après des études à l'Institut de Formation des éducateurs du clergé de Paris (France), il a pris service à la paroisse St.Gabriel de Niamey, a dirigé le foyer diocésain pour les vocations.

L'Abbé Rafael García de la Serrana Villalobos, OD, Vice Directeur de la Direction des services techniques du Governorat de l'Etat du Vatican.
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