Cité
du Vatican, 18 décembre 2016 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce matin,
accompagné de son épouse, SAS le Prince Albert II de Monaco, qui
s'est ensuite entretenu avec le Cardinal Pietro Parolin, Secrétaire
d'Etat, accompagné par Mgr.Paul Richard Gallagher, Secrétaire pour
les rapports avec les états: Après s'être félicités de leurs
bonnes relations et avoir convenu de la place historique qu'occupe
l'Eglise catholique à Monaco, les parties ont évoqué des questions
d'intérêt partagé, telle la protection de l'environnement, l'aide
humanitaire ou le progrès des peuples. Certains points focalisant
l'attention de la communauté internationale ont ensuite été
abordés, la paix et la sécurité, la prise en charge des migrants
et, plus généralement, la situation du bassin méditerranéen, du
proche et moyen orient.
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lundi 18 janvier 2016
Audience à une délégation œcuménique finlandaise
Cité
du Vatican, 18 janvier 2016 (VIS). Comme de coutume, une délégation
œcuménique finlandaise, guidée par l'Evêque luthérien d'Helsinki
Irja Askola, est venu rendre visite à l'évêque de Rome, à
l'occasion de la fête de saint Henri d'Upsala, patron de la
Finlande: "Votre pèlerinage œcuménique est un signe éloquent
du fait que, comme luthériens, orthodoxes et catholiques, vous avez
découvert ce qui vous rapproche et ensemble, vous désirez témoigner
de Jésus Christ qui est le fondement de l'unité", leur a dit
le Pape manifestant sa joie pour cette visite. "Nous remercions
le Seigneur, en particulier, pour les résultats auxquels on est
parvenu dans le dialogue entre luthériens et catholiques. Je
rappelle le document commun: Justification in the Life of the Church.
Sur cette base, le dialogue se poursuit sur un chemin prometteur,
vers une interprétation partagée, au niveau sacramentel, d'Eglise,
eucharistie et ministère. Les pas importants qui ont été effectués
ensemble nous permettent de construire une base solide de communion
de vie dans la foi et dans la spiritualité, et les rapports sont
davantage empreints d'un esprit de confrontation sereine et de
partage fraternel". Bien que dans ce dialogue quelques
différences persistent dans la doctrine et la praxis, cela ne doit
pas décourager les protagonistes mais au contraire "nous
encourager à poursuivre ensemble le chemin vers une unité toujours
plus grande, dépassant aussi les vieilles conceptions et réticences.
Dans un monde souvent lacéré par les conflits et marqué par la
sécularisation et l'indifférence, nous sommes tous appelés à nous
engager à confesser Jésus Christ, en devenant davantage des témoins
crédibles d'unité et des artisans de paix et de réconciliation",
a conclu le Pape.
Le Pape remercie la Police italienne du service rendu au Saint-Siège
Cité
du Vatican, 18 janvier 2016 (VIS). Ce matin, le Saint-Père a reçu
le personnel du détachement de la Police italienne qui assure la
surveillance extérieure à la cité du Vatican et l'accompagne dans
ses visites pastorales en territoire italien, aux côtés d'agents de
la Gendarmerie vaticane et de la Garde suisse. Dans son discours, il
leur a dit que sa rencontre avec le personnel de l'Inspection prenait
cette fois un sens particulier parce qu'il se plaçait dans le
contexte de l'Année sainte de la miséricorde, événement
d'importance spirituelle, qui a déjà vu en ces premiers jours
affluer à Rome de nombreux pèlerins provenant du monde entier.
C'est pourquoi, les dirigeants, fonctionnaires et agents de sécurité
publique sont appelés "à un engagement plus grand pour que les
célébrations et les événements liés au Jubilé extraordinaire se
déroulent de façon régulière et profitable. L'ordre extérieur
sur lequel vous veillez avec une particulière attention, ne manquera
pas de favoriser l'ordre intérieur, empreint de sérénité et de
paix. Nous avons à peine conclu le temps de Noël,
mais en de nombreux lieux comme la place St.Pierre, la crèche est
encore exposée et nous invite à garder au-dedans de nous, sur
l'exemple de la Vierge, le mystère que nous avons célébré. Marie
nous a offert Jésus comme commencement d'une vie nouvelle. Cet
Enfant est le vrai consolateur des cœurs, la véritable lumière qui
éclaire notre vie, vainquant l'obscurité du péché. En Lui, nous
avons contemplé le visage de la miséricorde de Dieu le Père, et
nous avons accueilli l'invitation renouvelée à nous convertir à
l'amour et au pardon. Que cette expérience spirituelle nous
accompagne pendant toute l'Année sainte! Que le Jubilé de la
miséricorde soit pour tous un temps fort de l'esprit, temps de
réconciliation avec Dieu et avec nos frères".
Visite du Pape François à la grande synagogue de Rome
Cité
du Vatican, 17 janvier 2016 (VIS). Hier, sur les pas de Jean-Paul II
et de Benoît XVI, le Pape François s'est rendu à la grande
synagogue de Rome pour saluer la communauté juive de la capitale
italienne, la plus ancienne du monde. Le Saint-Père a été reçu
par le président de la communauté de Rome, Mme.Ruth Dureghello, le
président de l'Union des communautés juives italiennes, M.Renzo
Gattegna et le grand Rabbin de Rome, M.Riccardo Di Segni, qui ont
tous prononcé des discours de bienvenue.
"Todà
rabbà" (merci), a dit le Pape après avoir entendu leurs
discours, qui a ensuite évoqué l'importance qu'il a toujours donné
à la relation entre les juifs et les chrétiens, et ce depuis qu'à
Buenos Aires, il rencontrait la communauté juive argentine et
suivait de très près ses fêtes et cérémonies. "Dans le
dialogue judéo-chrétien -a-t-il souligné- il y a un lien unique et
particulier, en vertu des racines juives du christianisme: juifs et
chrétiens doivent donc se sentir frères, unis par le même Dieu et
par un riche patrimoine spirituel commun, sur lequel ils peuvent se
baser et continuer à construire l'avenir". Il a rappelé que le
13 avril 1986, saint Jean-Paul II, en visite dans cette même
synagogue, avait utilisé la belle expression de "frères aînés,
et en effet vous êtes -a-t-il ajouté- nos grands frères et nos
grandes sœurs dans la foi. Nous appartenons tous à une unique
famille, la famille de Dieu, qui nous accompagne et nous protège
comme son peuple". Puis il a également rappelé qu'en 2015, on
a commémoré le 50 anniversaire de la déclaration Nostra Aetate du
concile Vatican II, qui a rendu possible le dialogue systématique
entre l'Eglise catholique et le judaisme, transformant la relation
entre chrétiens et juifs. "D'ennemis et étrangers -a-t-il
souligné- nous sommes devenus amis et frères... Oui à la
redécouverte des racines hébraïques
du christianisme; non à toute forme d'antisémitisme, et
condamnation de toute insulte, discrimination et persécution qui en
dérivent". Le Saint-Père a souligné la dimension théologique
de ce dialogue par lequel "les chrétiens, pour se comprendre
eux-mêmes, ne peuvent pas ne pas faire référence aux racines
hébraïques, et l'Eglise, tout
en professant le salut par la foi dans le Christ, reconnaît
l'irrévocabilité de l'ancienne Alliance et l'amour constant et
fidèle de Dieu pour Israël. A
côté de ces questions théologiques, nous ne devons pas perdre de
vue les grands défis que le monde d'aujourd'hui doit affronter.
Celui d'une écologie intégrale est désormais prioritaire, et comme
chrétiens et juifs, nous pouvons et devons offrir à l'humanité
entière le message de la Bible sur la protection de la création.
Conflits, guerres, violences et injustices ouvrent des blessures
profondes dans l'humanité et nous incitent à renforcer l'engagement
pour la paix et la justice. La violence de l'homme sur l'homme est en
contradiction avec toute religion digne de ce nom, et en particulier
avec les trois grandes religions monothéistes. La vie est sacrée,
en tant que don de Dieu. Le cinquième commandement du Décalogue
dit: Tu ne tueras point. Dieu est le Dieu de la vie, et veut toujours
l'encourager et la défendre, et nous créés à son image et
ressemblance, nous sommes tenus de faire de même. Tout être humain,
comme créature de Dieu, est notre frère, indépendamment de son
origine ou de son appartenance religieuse... Ni la violence, ni la
mort n'auront le dernier mot devant Dieu qui est le Dieu de l'amour
et de la vie. Nous devons le prier avec insistance afin qu'il nous
aide à pratiquer en Europe, en Terre Sainte, au Moyen Orient, en
Afrique et dans toute partie du monde la logique de la paix, de la
réconciliation, du pardon, de la vie".
A
cette cérémonie étaient aussi présents les derniers survivants
italiens de la Shoah, et le Pape a évoqué devant eux combien "le
peuple juif, dans son histoire, a fait l'expérience de la violence
et de la persécution, jusqu'à l'extermination des juifs européens
pendant la Shoah. Six millions de personnes, par leur seule
appartenance au peuple juif, ont été victimes de la barbarie la
plus inhumaine, perpétrée au nom d'une idéologie qui voulait
substituer l'homme à Dieu. Le 16 octobre 1943, plus de mille hommes,
femmes et enfants de la communauté juive de Rome ont été déportés
à Auschwitz. Je désire aujourd'hui les évoquer de tout cœur, de
façon particulière: leurs souffrances, leurs angoisses, leurs
larmes ne doivent jamais être oubliées. Le passé doit nous servir
de leçon pour le présent et pour l'avenir. La Shoah nous enseigne
que la plus grande vigilance est de mise, pour pouvoir intervenir, de
façon intempestive, dans la défense de la dignité humaine et de la
paix. Je voudrais faire part de ma proximité à chaque témoin de la
Shoah encore vivant, et j'adresse un salut particulier à vous tous
qui êtes ici présents. Ces cinquante dernières années -a conclu
le Pape- la compréhension réciproque, la confiance mutuelle et
l'amitié ont grandi et se sont approfondies. Prions ensemble le
Seigneur afin qu'il guide notre chemin vers un avenir bon, meilleur.
Dieu a pour nous des projets de salut".
Jésus répond à nos promesses de joie
Cité
du Vatican, 17 janvier 2016 (VIS). Aujourd'hui, Journée mondiale des
migrants et des réfugiés, le Pape a récité l'angélus avec les
fidèles réunis Place St.Pierre parmi lesquels se trouvaient sept
mille personnes appartenant à différentes communautés ethniques
venues passer la Porte Sainte et écouter les paroles du Saint-Père.
Avant la prière mariale, celui-ci a évoqué l'Evangile du jour qui
raconte le premier miracle de Jésus, la transformation de l'eau en
vin au cours de noces à Cana. "Les miracles sont donc des
signes extraordinaires qui accompagnent la prédication de la Bonne
Nouvelle et qui ont pour but de susciter ou renforcer la foi en
Jésus. Dans le miracle accompli à Cana, nous pouvons entrevoir un
acte de bienfaisance de la part de Jésus envers les époux, un signe
de la bénédiction de Dieu sur le mariage. L'amour entre l'homme et
la femme est donc une bonne route pour vivre l'Evangile, c'est-à-dire
pour s'engager avec joie sur la route de la sainteté. Mais le
miracle de Cana ne concerne pas seulement les époux. Toute personne
est appelée à rencontrer le Seigneur dans sa vie. La foi chrétienne
est un don que nous recevons avec le baptême et qui nous permet de
rencontrer Dieu. La foi traverse les temps de joie et de douleur, de
lumière et d'obscurité, comme dans toute expérience authentique
d'amour. Le récit des noces de Cana nous invite à redécouvrir que
Jésus ne se présente pas à nous comme un juge prêt à condamner
nos fautes, ni comme un commandant qui nous impose de suivre
aveuglément ses ordres. Il se manifeste comme le Sauveur de
l'humanité, comme un frère, comme notre grand frère, Fils du
Père...comme celui qui répond aux attentes et aux promesses de joie
qui habitent dans le cœur de chacun de nous".
Est-ce
vraiment ainsi que je connais le Seigneur?, a demandé le Pape.
"Est-ce que je le sens proche de moi, de ma vie?... Il s'agit de
se rendre compte que Jésus nous cherche et nous invite à faire de
la place dans l'intimité de notre cœur. Sur ce chemin de foi avec
lui, nous ne sommes pas seuls, nous avons reçu le don du sang du
Christ. Les grandes amphores de pierre que Jésus fait remplir d'eau
pour la transformer en vin sont le signe du passage de l'ancienne à
la nouvelle alliance. A la place de l'eau utilisée pour la
purification rituelle, nous avons reçu le sang de Jésus, versé de
façon sacramentelle dans l'Eucharistie et de façon sanglante dans
la Passion et sur la Croix. Les sacrements qui jaillissent du mystère
pascal, diffusent en nous une force surnaturelle et nous permettent
de goûter à la miséricorde infinie de Dieu. Que la Vierge Marie,
modèle de méditation des paroles et des gestes du Seigneur, nous
aide à redécouvrir avec foi la beauté et la richesse de
l'Eucharistie et des autres sacrements, qui rendent présent l'amour
fidèle de Dieu pour nous. Nous pourrons ainsi aimer toujours plus le
Seigneur Jésus, notre époux, et aller à sa rencontre avec les
lampes allumées de notre foi joyeuse, devenant ainsi ses témoins
dans le monde".
Prier pour les victimes des attentats d'Indonésie et du Burkina Faso
Cité
du Vatican, 17 janvier 2016 (VIS). Après l'angélus, le Pape a tout
particulièrement salué les membres des communautés ethniques
présents sur la place: "Chers migrants et réfugiés, chacun de
vous porte en lui une histoire, une culture, de précieuses valeurs,
et souvent malheureusement aussi des expériences de misère,
d'oppression, de peur. Votre présence est un signe d'espérance en
Dieu. Ne vous laissez pas voler l'espérance et la joie de vivre qui
jaillissent de l'expérience de la divine miséricorde, grâce aussi
aux personnes qui vous accueillent et vous aident. Je vous invite
maintenant à tous prier pour les victimes des attentats survenus ces
jours derniers en Indonésie et au Burkina Faso. Que le Seigneur les
reçoive dans sa maison et soutienne l'effort de la communauté
internationale pour construire la paix", a-t-il conclu en
récitant avec l'assistance un Ave Maria.
Vers un nouvel humanisme du travail
Cité
du Vatican, 16 janvier 2016 (VIS). Education, partage et témoignage
ont été les trois mots clé suggérés par le Pape aux membres du
Mouvement chrétien des travailleurs pour vivre la vocation du
travail, une vocation qui "nous appelle à imiter activement
l'infatigable œuvre du Père et de Jésus qui, dit l'Evangile,
agissent toujours". Face à quelque 7.000 membres de cette
organisation, le Saint-Père a souligné l'importance de l'éducation
qui "ne vise pas seulement à un enseignement de techniques ou
un partage de notions, mais à nous rendre plus humains ainsi que la
réalité qui nous entoure. Cela vaut en particulier pour le travail
car il convient de former à un nouvel humanisme du travail".
Vivant dans un monde où l'exploitation des travailleurs existe
encore et ou la dignité de la personne est souvent offensée jusqu'à
l'esclavage, "e nouvel humanisme du travail doit avoir pour
centre l'homme et non le profit. L'économie sert l'homme et ne se
sert pas de l'homme". L'éducation est fondamentale pour "ne
pas céder aux tromperies de ceux qui voudraient faire croire que le
travail, l'engagement quotidien, le don de soi et l'étude n'ont pas
de valeur. J'ajouterais qu'aujourd'hui, dans le monde du travail et
dans tout milieu, il est urgent d'éduquer à suivre la route,
lumineuse et exigeante, de l'honnêteté, fuyant les raccourcis des
favoritismes et des recommandations. Ces tentations, petites ou
grandes, existent toujours, mais il s'agit toujours d'actes de vente
moraux, indignes de l'homme: Ils doivent être repoussés pour
habituer le cœur à rester libre. Autrement, ils entraînent une
mentalité fausse et nocive qui doit être combattue, celle de
l'illégalité qui conduit à la corruption de la personne et de la
société. L'illégalité est comme une pieuvre que l'on ne voit pas:
elle est cachée, immergée, mais avec ses tentacules efficaces elle
attrape et empoisonne, polluant et faisant tant de mal".
Quant
au partage, le Pape a rappelé que le travail n'est pas seulement une
vocation individuelle, mais l'opportunité d'entrer en relation avec
les autres. N'importe quelle forme de travail suppose une conception
d'une relation que l'être humain peut ou doit établir avec son
semblable. Le travail doit unir les personnes et non les éloigner en
les rendant fermées et distantes... C'est l'occasion de partager
notre quotidien, de nous intéresser à celui qui est à nos côtés,
pour recevoir comme un don et comme une responsabilité la présence
des autres". Evoquant l'initiative du mouvement, appelée
Projets de service civile, qui permet aux membres de se rapprocher de
personnes et de situations nouvelles, faisant leurs les problèmes et
les espérances, le Saint-Père a souligné l'importance que les
autres ne soient pas seulement "les destinataires de quelque
attention, mais de véritables projets. Tout le monde fait des
projets pour soi, mais projeter pour les autres permet de faire un
pas en avant: cela met l'intelligence au service de l'amour, rendant
la personne plus intègre et la vie plus heureuse, parce que capable
de donner". Enfin, le témoignage. "L'apôtre Paul
encourageait à témoigner de la foi par l'activité, en dépassant
la paresse et l'indolence, et a laissé une règle très forte et
claire: Si quelqu'un ne veut pas travailler, qu'il ne mange pas non
plus. Aujourd'hui, au contraire, il y a des personnes qui voudraient
travailler, mais qui n'y parviennent pas, et ont donc des difficultés
pour se nourrir. Vous rencontrez tant de jeunes qui ne travaillent
pas. Comme vous l'avez dit, ce sont vraiment les nouveaux exclus de
notre époque et ils sont privés de leur dignité. La justice
humaine exige l'accès au travail pour tous. La miséricorde divine
nous interpelle aussi: face aux personnes en difficulté et aux
situations difficiles, je pense aussi aux jeunes pour qui se marier
ou avoir des enfants pose un problème parce qu'ils n'ont pas de
travail suffisamment stable ou de maison, il ne sert à rien de faire
de beaux discours. Il faut, au contraire, transmettre l'espérance,
réconforter par la présence, soutenir par une aide concrète".
Premier "vendredi de la miséricorde"
Cité
du Vatican, 18 janvier 2016 (VIS). Hier après-midi, le Saint-Père
s'est rendu dans une maison de retraite de la périphérie de Rome,
réalisant ainsi son premier "vendredi de la miséricorde".
Accompagné par Mgr.Fisichella, en charge du Jubilé, il a salué
chacun des 33 hôtes. Avant de rentrer au Vatican, il a également
fait halte au foyer Iris où vivent 6 malades en état végétatif,
assistés par leurs familles. Par ces deux visites, le Pape a voulu
contraster une fois de plus la culture de rebut en soulignant
l'importante place qu'occupent les personnes âgées et la grande
valeur qu'est en toute circonstance la dignité de la personne.
Audiences
Cité
du Vatican,18 janvier 2016 (VIS). Le Saint-Père a
reçu ce matin:
Mme.Christine
Lagarde, Directrice Générale du FMI.
Mgr.Antonio
Mennini, Nonce apostolique en Grande-Bretagne.
Mgr.Leo
William Cushley, Archevêque de Saint Andrews and Edinburgh (Ecosse /
GB).
Samedi
dernier, 16 janvier, il avait reçu:
Le
Cardinal Marc Ouellet, PSS, Préfet de la Congrégation pour les
évêques.
Une
délégation du Patriarcat serbo-orthodoxe.
Le
Cardinal George Pell, Préfet du Secrétariat pour l'économie.
Mgr.Luciano
Russo, Nonce apostolique au Rwanda.
Mgr.Hubertus
Matheus Maria van Megen, Nonce apostolique au Soudan et en Erythrée.
Autres actes pontificaux
Cité
du Vatican, 16 janvier 2016 (VIS). Le Saint-Père a nommé:
Mgr.Stephen
Lee Bun Sang, Evêque de Macau (superficie 30, population 607.500,
catholiques 29.872, prêtres 88, religieux 319) en Chine. Jusqu'ici
Auxiliaire de l'Evêque de Hong Kong (Chine), il succède à Mgr.José
Lai Hung-seng, dont la renonciation a été acceptée en conformité
au canon 401,2 du CIC.
Mgr.Luigi
Pezzuto, Nonce apostolique à Monaco, jusqu'ici Nonce en Bosnie -
Herzégovine et au Monténégro.
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