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Le Vatican Information Service (VIS) est un service d'information de la Salle-de-Presse du Saint-Siège. Il propose des informations sur le Magistère et l'activité pastorale du Saint-Père et de la Curie Romaine... []

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lundi 17 novembre 2014

La complémentarité, base du mariage et de la famille


Cité du Vatican, 21 novembre 2014 (VIS). "La complémentarité est un mot aux multiples sens. Il peut indiquer différentes situations où un élément complète l'autre ou supplée à une carence. Cependant, la complémentarité est beaucoup plus que cela", a dit le Pape ce matin au colloque international inter-religieux sur la complémentarité entre l'homme et la femme, organisé par la Congrégation pour la doctrine de la foi et en collaboration avec les Conseils pontificaux pour la famille, pour le dialogue inter-religieux et pour l'unité des chrétiens: "Cette complémentarité est la base du mariage et de la famille, qui est la première école où nous apprenons à apprécier nos dons et ceux des autres et où nous commençons à apprendre l'art de vivre ensemble. Pour la majorité d'entre nous, la famille est le lieu principal où nous commençons à respirer valeurs et idéaux, ainsi qu'à réaliser notre potentiel de vertu et de charité. En même temps, comme nous le savons, les familles sont des lieux de tensions, entre égoïsme et altruisme, entre raison et passion, entre désirs immédiats et objectifs à long terme. Mais les familles fournissent aussi l'environnement pour résoudre ces tensions".

Evoquant la crise qui secoue actuellement le mariage et la famille, il a rappelé que dans la culture du provisoire dans laquelle nous vivons, de plus en plus de personnes renoncent au mariage comme engagement public. "Cette révolution dans les coutumes et dans la morale a souvent agité le drapeau de la liberté, mais en réalité, elle a apporté dévastation spirituelle et matérielle à d'innombrables êtres humains, en particulier aux plus vulnérables. Il est toujours plus évident que le déclin de la culture du mariage est associé à une augmentation de la pauvreté et à une série de nombreux autres problèmes sociaux qui touchent de façon disproportionnée les femmes, les enfants et les personnes âgées". Il a aussi ajouté que la crise de la famille est à l'origine d'une crise écologique humaine, "puisque les milieux sociaux, comme les milieux naturels, ont besoin d'être protégés", avant d'ajouter qu'"il est indispensable de promouvoir une nouvelle écologie humaine".


"Il faut renforcer les piliers fondamentaux qui soutiennent une nation, ses biens immatériels. La famille reste le fondement de la coexistence et une garantie contre la désagrégation sociale. Les enfants ont le droit de grandir dans une famille avec un papa et une maman capables de créer un environnement apte à leur développement et à leur maturation affective". Quant aux jeunes, a-t-il ajouté, qui "représentent l'avenir, il est important qu'ils ne se laissent pas influencer par la mentalité nocive du provisoire et qu'ils soient des révolutionnaires par leur courage de chercher un amour fort et durable". Avant de conclure, le Pape a fait part de son souhait que ce colloque "soit une source d'inspiration pour tous ceux qui cherchent à soutenir et renforcer l'union de l'homme et de la femme dans le mariage comme un bien unique, naturel, fondamental et beau pour les personnes, les familles, les conmmunautés et les sociétés", avant de rappeler sa participation à la VIII rencontre mondiale des familles à Philadelphie (USA) en septembre 2015.

Evangéliser les cultures pour inculturer l'Evangile


Cité du Vatican, 17 novembre 2014 (VIS). Les fruits du travail des missionnaires, l'attention à la famille, l'orientation des jeunes, la proximité envers les malades du sida et la nécessité de collaborer avec les leaders politiques pour le bien commun, étaient au cœur du discours du Pape remis aux évêques de Zambie reçus ce matin au terme de leur visite Ad Limina: Il y rappelle d'abord le riche héritage de la foi laissé par les missionnaires qui, en dépit de la rencontre, souvent douloureuse, des anciens usages avec "la nouvelle espérance que le Christ apporte à toutes les cultures", s'est traduit en une "abondante récolte spirituelle" visible aussi dans les nombreux hôpitaux, cliniques, écoles et paroisses catholiques de Zambie, et dans la grande diversité des ministères laïcs, et de vocations au sacerdoce dans une société qui s'est vu transformée par les valeurs chrétiennes. Les grands défis auxquels les pasteurs sont confrontés actuellement touchent, en premier lieu, à la famille, car comme l'ont affirmé les prélats dans leur rencontre avec le Pape, nombreux sont les pauvres dans leur lutte pour leur survie, ceux qui tombent, victimes des vaines promesses de faux enseignements qui "semblent offrir un rapide soulagement dans un moment de désespoir". C'est pourquoi, le Pape demande aux évêques qu'avec leurs prêtres, ils forment par la catéchèse des familles chrétiennes solides, qui "connaissent, comprennent et aiment les vérités de la foi avec plus de profondeur", qui soient fortes dans la fidélité et dans leur aspiration à donner un foyer stable à leurs enfants. Il les a aussi incités à être proches des jeunes "qui veulent définir et articuler leur identité dans une époque de désorientation. Aidez-les à trouver leur objectif dans le défi et la joie de la co-création avec Dieu qu'est la vocation à la vie matrimoniale...ou à la vocation au sacerdoce et à la vie religieuse qui a été donnée à l'Eglise pour le salut des âmes. Invitez, tout particulièrement, ceux dont la foi a tiédi et qui se sentent perdus à revenir à une pratique complète de la foi. En tant que pasteurs du troupeau, n'oubliez pas de chercher les membres les plus faibles de la société zambienne, parmi lesquels les pauvres et les personnes atteintes du sida, pour que "l'immense majorité des pauvres bénéficie d'une ouverture spéciale à la foi. Ils ont besoin de Dieu et nous ne pouvons pas manquer de leur offrir son amitié, sa bénédiction, sa Parole, les sacrements et la proposition d'un chemin de croissance et de maturation dans la foi... Ne vous lassez pas d'être des pères aimants et solides pour vos prêtres, en les aidant à résister au matérialisme et aux règles du monde, reconnaissant en même temps leurs justes besoins . Montrez aussi dans vos diocèses que la vie religieuse est un trésor... En cette période difficile après la mort du président Sata, je vous invite à poursuivre votre travail avec les leaders politiques pour le bien commun, en approfondissant votre témoignage prophétique dans la défense des pauvres afin d'élever la vie des faibles", a conclu le Pape François, qui a encore rappelé aux prélats que "la mission évangélisatrice de l'Eglise est sans fin. Il est donc impératif d'évangéliser les cultures pour inculturer l'Evangile... Chaque culture et chaque groupe social a besoin de purification et de maturation".

Faire fructifier les talents reçus


Ci du Vatican, 16 novembre 2014 (VIS). A l'angélus, le Pape a commenté l'Evangile du jour, la parabole des talents. Rappelant que le maître n'est autre que Jésus, et que les trois serviteurs sont ses disciples, il a affirmé que les monnaies du récits sont les dons que chacun de nous reçoit de Dieu. Ce patrimoine, qui nous a été confié, "c'est la Parole, l'Eucharistie, la foi dans le Père et dans son pardon... Ce sont des biens précieux qu'il faut conserver mais aussi faire fructifier". Le trou dans lequel le mauvais serviteur a caché le talent remis par le maître "symbolise la peur du risque qui bloque la fécondité et la créativité de l'amour". Jésus ne veut pas "que nous conservions sa grâce dans un coffre fort, mais que nous en usions au profit des autres. Les biens reçus doivent être destinés aux autres pour qu'ils grandissent... Alors, que faisons nous de nos dons? ...qui avons nous touché par notre foi? Combien de personnes avons nous encouragées?... Tout espace, y compris le plus hostile, peut devenir une occasion de faire fructifier nos talents. Il n'y a pas de situation pouvant être exclue du témoignage chrétien. Jésus nous demande un témoignage ouvert et volontaire... Ceci nous encourage à ne pas cacher notre foi et notre appartenance au Christ, à ne pas enterrer la Parole, mais à faire circuler dans nos vies le message évangélique... Il en va de même pour le pardon que le Seigneur accorde dans le sacrement de la réconciliation. Il ne faut pas le tenir enfermer mais libérer sa force afin de faire tomber les murs de notre égoïsme...en rengageant le dialogue là où il n'y a plus de communication... Certes, le Seigneur ne donne pas à tous le même don, ni de la même manière. Nous connaissant personnellement il nous attribue ce qui est bon pour nous, mais en tous il existe quelque chose de commun, une immense confiance. Dieu a confiance en nous, ne le décevons pas, ne nous laissons pas détourner par la peur, rendons confiance pour confiance".  

Ne pas céder à la tentation de l'affrontement


Ci du Vatican, 16 novembre 2014 (VIS). Après l'angélus, le Pape a évoqué les tensions de ces derniers jours dans certaines banlieues de Rome, entre habitants et émigrés. Ce phénomène, a-t-il dit, qui "se manifeste dans plusieurs villes européennes, dans des zones défavorisées, doit pousser les institutions nationales et locales à agir en urgence et de manière adéquate. Il s'agit d'une priorité sociale qui sinon risque de dégénérer. Il faut que la communauté chrétienne s'implique concrètement pour substituer la rencontre à l'affrontement. Avec les autorités, les habitants et les émigrés de ces banlieues doivent se rencontrer, en particulier dans les paroisses, et parler de la situation sans céder à la tentation de l'affrontement. Toute violence doit être bannie au profit du dialogue, de l'écoute, du projet commun et de l'abandon des préjugés qui seuls reconstitueront la paix sociale et la sécurité". C'est aujourd'hui la Journée mondiale des victimes de la route, qui nous rappelle dans la prière la nécessité d'un engagement constant de prévention des accidents, et celle d'une conduite prudente et respectueuse des règles de la part de automobilistes". 

Il n'y a pas de vie humaine plus sacrée qu'une autre


Cité du Vatican, 15 novembre 2014 (VIS). Ce matin, le Pape François a reçu 6.500 médecins membres de l'association des médecins catholiques italiens à l'occasion du 70 anniversaire de sa fondation, auxquels il a dit que "les conquêtes de la science et de la médecine peuvent contribuer à l'amélioration de la vie humaine dans la mesure où elles ne s'éloignent pas de la racine éthique de ces disciplines... L'attention à la vie humaine, en particulier celle en plus grande difficulté, c'est-à-dire au malade, à la personne âgée, à l'enfant, touche profondément la mission de l'Eglise. Celle-ci se sent aussi appelée à participer au débat sur la vie humaine, pour présenter son point de vue fondé sur l'Evangile. Souvent, la qualité de la vie est avant tout liée aux moyens économiques, au bien-être, à la beauté et à la jouissance de la vie physique, oubliant d'autres dimensions plus profondes, relationnelles, spirituelles et religieuses, de l'existence. En fait, à la lumière de la foi et de la raison, la vie humaine est toujours sacrée et toujours de qualité. Il n'y a pas de vie humaine plus sacrée qu'une autre...comme il n'y a pas de vie humaine qualitativement plus importante qu'une autre, en raison des seuls moyens, droits ou opportunités économiques et sociales". C'est pourquoi, par leur travail, les médecins doivent témoigner "par la parole et l'exemple, que la vie humaine est toujours sacrée, valable et inviolable, et comme telle, elle doit être aimée, défendue et soignée". Le professionalisme des médecins "enrichi par l'esprit de foi, est une raison de plus pour collaborer aussi avec ceux qui, partant de perspectives religieuses ou de pensées différentes, reconnaissent la dignité de la personne humaine comme critère de leur activité. En effet, si le serment d'Hippocrate vous engage à être toujours des serviteurs de la vie, l'Evangile vous pousse au-delà, à l'aimer toujours et de toutes façons, surtout quand elle a besoin d'attentions et de soins particuliers... La pensée dominante propose parfois une fausse compassion: celle qui prétend aider la femme en favorisant l'avortement, faire un acte de dignité en procurant l'euthanasie, faire une conquête scientifique en produisant un enfant considéré comme un droit au lieu de l'accueillir comme un don, ou utiliser des vies humaines comme cobays de laboratoire pour en sauver prétendument d'autres. La compassion évangélique en revanche est celle qui accompagne dans les moments de besoin, c'est-à-dire celle du Bon Samaritain qui voit, prend pitié, s'approche et offre une aide concrète. Votre mission comme médecins vous met quotidiennement au contact avec de nombreuses formes de souffrance. Je vous encourage à devenir des bons samaritains, en prenant soin en particulier des personnes âgées, des malades et des handicapés. La fidélité à l'Evangile de la vie et à son respect comme don de Dieu, demande souvent de faire des choix courageux et à contre-courant qui, dans des circonstances particulières, touchent à l'objection de conscience. Et à tant de conséquences sociales que cette fidélité comporte. Nous vivons une époque d'expérimentations touchant la vie". Mais attention, "jouer avec la vie...est un péché contre le Créateur, contre Dieu qui a créé les choses telles qu'elles sont".

Protéger les populations des restes explosifs de guerre


Cité du Vatican, 15 novembre 2014 (VIS). Le 10 novembre à Genève, Mgr.Silvano M. Tomasi, Observateur permanent auprès des Nations-Unies et des institutions européennes, est intervenu à la VIII conférence des Etats adhérents au V protocole sur les restes explosifs de guerre de la convention sur l'interdiction et la limitation de l'usage de certaines armes conventionnelles qui peuvent être considérées comme excessivement nocives et aux effets indiscriminés. Le protocole V établit les obligations et les meilleures pratiques pour défendre la population civile des dangers liés à la présence sur le terrain d'engins explosifs, restes de guerres.


"Pour leur crédibilité et pour maintenir les portes ouvertes aux négociations et à l'adoption d'autres instruments à l'avenir, il est important que tous les Etats parties prennent au sérieux l'application de cet instrument dans ses dimensions préventives ou curatives. Les récents conflits au proche et moyen Orient, en Afrique, en Afrique septentrionale et en Europe, nous rappellent nos responsabilités quant aux restes d'engins explosifs abandonnés. Au-delà de la sécurité des civils, nous assistons à une déstabilisation nationale et régionale en raison du manque de sécurité et de contrôle des stocks, que la communauté internationale n'est pas en mesure de prévenir, ni suffisamment préparée à cela... Il est vrai que la principale responsabilité revient à l'état touché. Cependant, la coopération internationale est aussi un devoir. Presque tous les conflits actuels impliquent des acteurs nationaux, régionaux et internationaux, étatiques ou non. Il convient aussi de rappeler que la majorité des pays en conflit est constituée de pays en développement qui n'ont pas toujours les moyens suffisants pour dépasser les conséquences du conflit armé sur leur sol... La collaboration entre les états, organisations internationales et ONG dans les différentes zones de désarmement est bien consolidée. La CCW, comprise dans le protocole V, a toujours permis la participation de la société civile et de ses organisations. Nous tirons tous profit du professionnalisme et de la compétence de ces organisations. Nous pensons qu'elles doivent continuer à avoir une place et une voix ici, ainsi qu'un rôle à jouer dans la coopération internationale et dans la prévention et pour remédier aux dommages causés par les restes explosifs de guerre. Les guerres et les conflits armés sont toujours un échec de la politique et de l'humanité. Le droit humanitaire internationale doit maintenir cette dimension humaine fondamentale pour rendre possible la coexistence au niveau national et international. Quand la communauté internationale ne réussit pas à maintenir la paix, elle ne devrait pas accepter un second échec. Le V protocole est une modeste tentative pour empêcher que, le conflit une fois terminé, des personnes innocentes deviennent victimes. L'exécution de celui-ci n'est pas seulement une obligation juridique, mais avant tout un devoir moral envers les personnes et un devoir politique pour rétablir la paix".

Envoyé spécial au Myanmar


Cité du Vatican, 15 novembre 2014 (VIS). Aujourd'hui a été publiée la lettre latine du 16 octobre par laquelle le Saint-Père a nommé le Cardinal Oswald Gracias, Archevêque de Bombay (Inde), son Envoyé spécial au 500 anniversaire de l'évangélisation du Myanmar (Rangoun, 21 - 23 novembre). Il sera accompagné par l'abbé Marian Soe Naing, SDB, et par le P.Peter Sein Hlaing, OO, Professeurs au grand séminaire de Rangoun.

Audiences


Cité du Vatican, 17 novembre 2014 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce matin:

Mgr.Ivan Jurkovic, Nonce apostolique en Russie et en Ouzbékistan.

M.Mehmet Pagaci, nouvel Ambassadeur de Turquie, venu lui présenter ses lettres de créance.

Mgr.Lazzaro You Heung-sik, Evêque de Daejeon (Corée).

M.Daniel Baremboim.

Onze prélats de la Conférence épiscopale zambienne en visite Ad Limina:

Mgr.Ignatius Chama, Arcievêque de Kasama et Administrateur apostolique de Mpika.

Mgr.Patrick Chisanga, OFM.Conv, Evêque de Mansa.

Mgr.Telesphore George Mpundu, Archevêque de Lusaka.

Mgr.George Cosmas Zumaire Lungu, Evêque de Chipata, accompagné de son Auxiliaire, Mgr.Benjamin Phiri.

Mgr.Clement Mulenga, SDB, Evêque de Kabwe.

Mgr.Raymond Mpezele, Evêque de Livingstone.

Mgr.Evans Chinyama Chinyemba, OMI, Evêque de Mongu.

Mgr.Moses Hamungole, Evêque de Monse.

Mgr.Alick Banda, Evêque de Ndola.

Mgr.Charles Joseph Sampa Kasonde, Evêque de Solwezi.

Samedi dernier, 15 novembre, il avait reçu:

Le Cardinal Marc Ouellet, PSS, Préfet de la Congrégation pour les évêques.

Le Cardinal Fernando Filoni, Préfet de la Congrégation pour l'évangélisation des peuples.

Mgr.Paul-André Durocher, Archevêque de Gatineau et Président de la Conférence épiscopale canadienne, accompagné de Mgr.David Douglas Crosby, Evêque de Hamilton et Vice Président, et de M.Bede Hubbard, Sous Secrétaire.



Autres actes pontificaux


Cité du Vatican 17 novembre 2014 (VIS). Le Saint-Père a:

Nommé l'Abbé Cristóbal Ascencio García, Evêque d'Apatzingán (superficie 13.102, population 404.000, catholiques 373.000, prêtres 59, religieuses 126), au Mexique. L'Evêque élu, né en 1955 à El Josefino de Allende (Mexique) et ordonné prêtre en 1985, était jusqu'ici Curé de la paroisse St.François de Tepatitlán di Morelos (Mexique). Licencié en droit canonique, il a été recteur de grand séminaire et juge ecclésiastique. Il succède à Mgr.Miguel Patiño Velásquez, MSF, dont la renonciation a été acceptée pour limite d'âge.

Nommé l'Abbé Juan Carlos Ares, Auxiliaire de l'Archevêque de Buenos Aires (Argentine). L'Evêque élu, né en 1963 à Buenos Aires (Argentine) et ordonné prêtre en 1989, était jusqu'ici Curé de la paroisse Notre Dame de Balvanera à Buenos Aires. Il a été aumônier de scouts, membre du Presbyterium et Vice Directeur du département de l'enseignement catholique diocésain.

Nommé l'Abbé Martín Fassi, Auxiliaire de l'Evêque de San Isidro (Argentine). L'Evêque élu, né en 1960 à San Isidro (Argentine) et ordonné prêtre en 1984, était jusqu'ici Vicaire général de ce même diocèse. Missionnaire à Cuba, il a été enseignant de séminaire et curé de paroisse.

Accepté la renonciation à l'office d'Auxiliaire de l'Archevêque de Guadalajara (Mexique), présentée par Mgr.Miguel Romano Gómez, en conformité au canon 401,2.

Samedi dernier, 15 novembre, il avait:

Nommé le P.Francisco Javier Pistilli Scorzara, Schön., Evêque d'Encarnación (superficie 16.525, population 611.000, catholiques 502.000, prêtres 52, diacres 1, religieux 110), au Paraguay. L'Evêque élu, né en 1965 à Asunción (Paraguay) et ordonné prêtre en 1997, était jusqu'ici Supérieur régional de son institut pour l'Argentine, l'Uruguay, le Paraguay et le Nigeria. Il a exercé plusieurs responsabilités au sein de l'Institut des Pères de Schönstatt, et succède à Mgr.Ignacio Gogorza Izaguirre, SCI.Béth, dont la renonciation a été acceptée pour limite d'âge.

Accepté la renonciation à l'office d'Auxiliaire de l'Evêque d'Encarnación (Paraguay), présentée pour limite d'âge par Mgr.Claudio Silvero Acosta, SCI.Béth.

Nommé le P.Heinz Wilhelm Steckling, OMI, Evêque de Ciudad del Este (superficie 29.562, population 795.000, catholiques 783.200, prêtres 111, diacres 1, religieux 198), au Paraguay. L'Evêque élu, né en 1947 à Werl (Allemagne), a prononcé ses vœux religieux et a été ordonné prêtre en 1974, était jusqu'ici Recteur du grand séminaire de son ordre à Asunción. Diplômé en théologie, il a exercé diverses fonctions au sein de son ordre. Consulteur de la Congrégation pour l'évangélisation des peuples et du Conseil pontifical pour le dialogue inter-religieux, il a été Membre des Synodes de 1999 et 2008.

Nommé Mgr.Stephen Tjephe, Evêque de Loikaw (superficie 11.670, population 346.000, catholiques 74.868, prêtres 93, religieux 235), au Myanmar. Auxiliaire de ce même diocèse, il en était jusqu'ici Administrateur apostolique.

Accepté la renonciation à l'office d'Auxiliaire de l'Evêque de Gliwice (Pologne), présentée pour limite d'âge par Mgr.Gerard Kusz.

Nommé le P.Lorenzo Lorusso, OP (Italie), Sous Secrétaire de la Congrégation pour les Eglises orientales.




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