CITE DU VATICAN, 17 MAI 2010 (VIS). Ce matin, le Saint-Père a reçu M.Evo Morales Ayma, Président de la Bolivie, qui s'est ensuite entretenu avec le Cardinal Secrétaire d'Etat et le Secrétaire pour les rapports avec les états. "Les entretiens, qui ont permis un fructueux échange d'opinions su l'actualité internationale et régionale, ont permis de constater la nécessité de développer une plus grande sensibilité de la société en matière de protection de la nature. Les parties ont également abordé certains aspects de la situation bolivienne, et notamment la collaboration Eglise Etat en matière d'éducation, de santé et de politiques sociales tendant à défendre les droits des plus faibles".
OP/ VIS 20100517 (120)
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lundi 17 mai 2010
BOUDDHISTES ET CHRETIENS FACE A LA CRISE
CITE DU VATICAN, 17 MAi 2010 (VIS). Aujourd'hui a été publié le message du Conseil pontifical pour le dialogue inter-religieux aux bouddhistes, à l'occasion de la prochaine fête du Vesakh (principale fête bouddhiste évoquant trois moments fondamentaux de la vie du Bouddha). Le thème 2010 est: "Respect de la vie humaine chez les chrétiens et les bouddhistes, comme fondement du respect de toute vie"):
"Le contexte est propice à réfléchir ensemble sur un thème d'une importance particulière aujourd'hui, à savoir celui de la crise environnementale qui a déjà causé de notables difficultés et souffrances dans le monde entier. Les efforts de nos deux communautés, à travers l'engagement dans le dialogue interreligieux, ont contribué à une prise de conscience nouvelle de l'importance sociale et spirituelle de nos traditions religieuses respectives. Nous reconnaissons que nous avons en commun des valeurs comme le respect de la nature de toutes choses, la contemplation, l'humilité, la simplicité, la compassion et la générosité. Elles contribuent à rechercher une vie de non violence et d'équilibre, de contentement vis-à-vis de ce qui, chaque jour, nous suffit".
"L'Eglise catholique considère la protection de l'environnement comme intimement liée au thème du développement humain intégral. Pour sa part, elle s'investit non seulement en faveur de la protection de la terre, de l'eau et de l'air comme dons destinés à chacun, mais également pour encourager d'autres à s'unir aux efforts de protection de l'humanité contre son autodestruction. De fait, notre responsabilité vis-à-vis de la protection des ressources de la nature, comme celle du respect des uns envers les autres, découle de la loi inscrite dans le cœur de tous les hommes et de toutes les femmes".
"Les chrétiens, comme les bouddhistes, ont un profond respect de la vie humaine. Il est donc crucial que nous portions nos efforts sur l'émergence d'un sens de responsabilité écologique tout en réaffirmant aussi nos convictions partagées au sujet de l'inviolabilité de la vie humaine, à chaque étape et en chaque état, de la dignité de la personne et de la mission unique de la famille comme premier terrain d'apprentissage de l'amour de l'autre et du respect de la nature".
"Puissions-nous favoriser ensemble une saine relation entre les êtres humains et l'environnement. En intensifiant nos efforts pour encourager la prise de conscience écologique en vue du bien-être de tous et de la coexistence pacifique, nous pouvons offrir le témoignage d'un mode de vie respectueux qui, alors, prend son sens en étant plus et non pas en ayant plus. C'est par un discernement commun et à travers l'engagement de nos traditions religieuses respectives que nous pouvons contribuer à la prospérité de notre monde".
CON-DIR/ VIS 20100517 (450)
"Le contexte est propice à réfléchir ensemble sur un thème d'une importance particulière aujourd'hui, à savoir celui de la crise environnementale qui a déjà causé de notables difficultés et souffrances dans le monde entier. Les efforts de nos deux communautés, à travers l'engagement dans le dialogue interreligieux, ont contribué à une prise de conscience nouvelle de l'importance sociale et spirituelle de nos traditions religieuses respectives. Nous reconnaissons que nous avons en commun des valeurs comme le respect de la nature de toutes choses, la contemplation, l'humilité, la simplicité, la compassion et la générosité. Elles contribuent à rechercher une vie de non violence et d'équilibre, de contentement vis-à-vis de ce qui, chaque jour, nous suffit".
"L'Eglise catholique considère la protection de l'environnement comme intimement liée au thème du développement humain intégral. Pour sa part, elle s'investit non seulement en faveur de la protection de la terre, de l'eau et de l'air comme dons destinés à chacun, mais également pour encourager d'autres à s'unir aux efforts de protection de l'humanité contre son autodestruction. De fait, notre responsabilité vis-à-vis de la protection des ressources de la nature, comme celle du respect des uns envers les autres, découle de la loi inscrite dans le cœur de tous les hommes et de toutes les femmes".
"Les chrétiens, comme les bouddhistes, ont un profond respect de la vie humaine. Il est donc crucial que nous portions nos efforts sur l'émergence d'un sens de responsabilité écologique tout en réaffirmant aussi nos convictions partagées au sujet de l'inviolabilité de la vie humaine, à chaque étape et en chaque état, de la dignité de la personne et de la mission unique de la famille comme premier terrain d'apprentissage de l'amour de l'autre et du respect de la nature".
"Puissions-nous favoriser ensemble une saine relation entre les êtres humains et l'environnement. En intensifiant nos efforts pour encourager la prise de conscience écologique en vue du bien-être de tous et de la coexistence pacifique, nous pouvons offrir le témoignage d'un mode de vie respectueux qui, alors, prend son sens en étant plus et non pas en ayant plus. C'est par un discernement commun et à travers l'engagement de nos traditions religieuses respectives que nous pouvons contribuer à la prospérité de notre monde".
KIRCHENTAG: EGLISE, LIEU D'ESPERANCE
CITE DU VATICAN, 15 MAI 2010 (VIS). Aujourd'hui a été publié le message de Benoît XVI au deuxième Kirchentag œcuménique allemand, qui s'est tenu à Munich (Allemagne) du 12 au 16 mai, et auquel ont participé des chrétiens de différentes confessions, mais aussi des croyants d'autres religions. Rappelant le thème de la rencontre, "Afin que vous ayez l'espérance", le Saint-Père a souligné que "ces derniers mois, nous avons été régulièrement confrontés à des nouvelles qui ont cherché à retirer toute joie de l'Eglise et qui ont assombri ce lieu d'espérance".
"En étant aujourd'hui un peu attentifs, nous ne percevons pas seulement l'obscurité mais aussi ce qui est clair et bon à notre époque. Nous voyons comme la foi rend les hommes purs et généreux et les éduque à l'amour. La zizanie existe aussi au sein de l'Eglise et entre ceux que le Seigneur a appelé à son service en particulier. Mais la lumière de Dieu n'est pas éteinte, le bon grain n'a pas été étouffé par les germes du mal". Après s'être demandé si "l'Eglise est encore un lieu d'espérance ?", il a répondu: "Oui, car d'elle nous arrive toujours et de nouveau la Parole de Dieu qui nous purifie et nous montre le chemin de la foi. Elle l'est car, en elle, le Seigneur continue de se donner lui-même, dans la grâce des sacrements, dans la parole de la réconciliation et dans les multiples dons de sa consolation. Rien ne peut assombrir ou détruire tout cela. C'est de cela dont nous devrions être heureux au milieu de toutes ces tribulations".
"Quand nous parlons de l'Eglise comme d'un lieu d'espérance qui vient de Dieu -écrit ensuite le Pape- un examen de conscience s'avère alors nécessaire: Que fais-je, moi, de l'espérance que le Seigneur nous a donnée? Est-ce que je me laisse vraiment façonner par sa Parole? Changer et guérir par lui? Combien de zizanie, en réalité, grandit en moi? Suis-je disposé à l'éradiquer? Suis-je reconnaissant du don du pardon et disposé à pardonner et à guérir à mon tour plutôt qu'à condamner?". Il ajoute que "nous ne pouvons pas faire les choses les plus grandes, celles qui relèvent seulement du don: l'amitié, l'amour, la joie et le bonheur... Cependant aujourd'hui presque personne ne parle encore de la vie éternelle qui, par le passé, était la vraie raison de l'espérance. Comme l'on n'ose pas croire en elle, nous espérons tout dans la vie présente. La mise à l'écart de l'espérance en la vie éternelle porte à l'avidité pour une vie, ici et maintenant, qui devient presque inévitablement égoïste et, à la fin, reste irréalisable. C'est en voulant entrer en possession de la vie comme d'une sorte de bien qu'elle nous échappe".
"Dieu est vivant. Dieu nous aime. Il est devenu l'un d'entre nous en Jésus-Christ. Je peux me tourner vers lui et lui m'écoute. Ainsi, comme Pierre, dans l'agitation de notre époque qui nous pousse à croire à tant d'autres choses, nous lui disons: Seigneur, à qui irons-nous? Tu as les paroles de la vie éternelle. Nous, nous croyons et nous avons reconnu que tu es le Saint de Dieu". A la fin du message, le Saint-Père a souhaité que tous fassent "à nouveau l'expérience de la joie de connaître Dieu, de connaître le Christ et que Lui nous connaisse. Voilà notre espérance et notre joie au milieu de l'agitation d'aujourd'hui".
MESS/ VIS 20100517 (570)
"En étant aujourd'hui un peu attentifs, nous ne percevons pas seulement l'obscurité mais aussi ce qui est clair et bon à notre époque. Nous voyons comme la foi rend les hommes purs et généreux et les éduque à l'amour. La zizanie existe aussi au sein de l'Eglise et entre ceux que le Seigneur a appelé à son service en particulier. Mais la lumière de Dieu n'est pas éteinte, le bon grain n'a pas été étouffé par les germes du mal". Après s'être demandé si "l'Eglise est encore un lieu d'espérance ?", il a répondu: "Oui, car d'elle nous arrive toujours et de nouveau la Parole de Dieu qui nous purifie et nous montre le chemin de la foi. Elle l'est car, en elle, le Seigneur continue de se donner lui-même, dans la grâce des sacrements, dans la parole de la réconciliation et dans les multiples dons de sa consolation. Rien ne peut assombrir ou détruire tout cela. C'est de cela dont nous devrions être heureux au milieu de toutes ces tribulations".
"Quand nous parlons de l'Eglise comme d'un lieu d'espérance qui vient de Dieu -écrit ensuite le Pape- un examen de conscience s'avère alors nécessaire: Que fais-je, moi, de l'espérance que le Seigneur nous a donnée? Est-ce que je me laisse vraiment façonner par sa Parole? Changer et guérir par lui? Combien de zizanie, en réalité, grandit en moi? Suis-je disposé à l'éradiquer? Suis-je reconnaissant du don du pardon et disposé à pardonner et à guérir à mon tour plutôt qu'à condamner?". Il ajoute que "nous ne pouvons pas faire les choses les plus grandes, celles qui relèvent seulement du don: l'amitié, l'amour, la joie et le bonheur... Cependant aujourd'hui presque personne ne parle encore de la vie éternelle qui, par le passé, était la vraie raison de l'espérance. Comme l'on n'ose pas croire en elle, nous espérons tout dans la vie présente. La mise à l'écart de l'espérance en la vie éternelle porte à l'avidité pour une vie, ici et maintenant, qui devient presque inévitablement égoïste et, à la fin, reste irréalisable. C'est en voulant entrer en possession de la vie comme d'une sorte de bien qu'elle nous échappe".
"Dieu est vivant. Dieu nous aime. Il est devenu l'un d'entre nous en Jésus-Christ. Je peux me tourner vers lui et lui m'écoute. Ainsi, comme Pierre, dans l'agitation de notre époque qui nous pousse à croire à tant d'autres choses, nous lui disons: Seigneur, à qui irons-nous? Tu as les paroles de la vie éternelle. Nous, nous croyons et nous avons reconnu que tu es le Saint de Dieu". A la fin du message, le Saint-Père a souhaité que tous fassent "à nouveau l'expérience de la joie de connaître Dieu, de connaître le Christ et que Lui nous connaisse. Voilà notre espérance et notre joie au milieu de l'agitation d'aujourd'hui".
REGINA COELI
CITE DU VATICAN, 16 MAI 2010 (VIS). Avant la récitation du Regina Coeli, Benoît XVI a rappelé qu'en Italie comme dans d'autres pays on fête aujourd'hui l'Ascension, et que ce dimanche est aussi la Journée mondiale des communications sociales (thème 20101: "Le prêtre et la pastorale dans le monde numérique. Les nouveaux media au service de la Parole"). La liturgie du jour, a rappelé le Saint-Père, raconte l'ultime séparation de Jésus et de ses disciples, qui ne fut pas un abandon puisqu'il leur annonça qu'il serait parmi eux d'une manière nouvelle.
"En indiquant le ciel aux apôtres,il leur montra la voie du bien à parcourir leur vie durant. Ceci dit le Christ demeure dans la trame de l'histoire humaine, proche de chacun de nous dont il guide le cheminement chrétien. Il est le compagnon des persécutés pour la foi et de toutes les personnes marginalisées. Il est présent en ceux à qui on nie le droit à la vie. Dans l'Eglise, il est possible de l'approcher et de l'écouter à travers l'action sacramentale de ses ministres".
Puis le Pape a tout particulièrement recommandé aux confirmants "de rester fidèles à la Parole reçue et à la doctrine apprise", les invitant aussi "à pratiquer assidûment la confession et l'Eucharistie, avec la conscience d'avoir été choisis pour témoigner de la vérité". Il a enfin demandé aux prêtres d'imprimer à leur vie et à leur mission une plus forte marque évangélique. "sachez utiliser avec sagesse les nouveaux instruments de la communication pour faire connaître la vie de l'Eglise et aider l'homme d'aujourd'hui à découvrir le Christ".
ANG/ VIS 20100517 (270)
"En indiquant le ciel aux apôtres,il leur montra la voie du bien à parcourir leur vie durant. Ceci dit le Christ demeure dans la trame de l'histoire humaine, proche de chacun de nous dont il guide le cheminement chrétien. Il est le compagnon des persécutés pour la foi et de toutes les personnes marginalisées. Il est présent en ceux à qui on nie le droit à la vie. Dans l'Eglise, il est possible de l'approcher et de l'écouter à travers l'action sacramentale de ses ministres".
Puis le Pape a tout particulièrement recommandé aux confirmants "de rester fidèles à la Parole reçue et à la doctrine apprise", les invitant aussi "à pratiquer assidûment la confession et l'Eucharistie, avec la conscience d'avoir été choisis pour témoigner de la vérité". Il a enfin demandé aux prêtres d'imprimer à leur vie et à leur mission une plus forte marque évangélique. "sachez utiliser avec sagesse les nouveaux instruments de la communication pour faire connaître la vie de l'Eglise et aider l'homme d'aujourd'hui à découvrir le Christ".
CRAINDRE ET COMBATTRE LE PECHE
CITE DU VATICAN, 16 MAI 2010 (VIS). Après le Regina Coeli, le Pape a remercié de leur présence et de leur confiance des quelque 200.000 personnes rassemblées Place St.Pierre et Via della Conciliazione: "Aujourd'hui, je voudrais d'abord saluer les fidèles laïques venus de toute l'Italie et le Cardinal Angelo Bagnasco qui les accompagne en tant que Président de la Conférence épiscopale. Je vous remercie de tout cœur, chers frères et sœurs, pour votre présence chaleureuse et nombreuse! A l'invitation du Conseil national italien des associations laïques, vous avez spontanément adhéré avec enthousiasme à cette belle manifestation de foi et de solidarité, à laquelle participe également un groupe important de parlementaires et administrateurs locaux. A tous j'adresse tous ma plus vive reconnaissance. Je salue aussi les milliers d'immigrés qui sont sur la Place St.Jean-de-Latran avec le Cardinal vicaire Agostino Vallini, à l'occasion de la Fête des peuples... Chers amis vous témoignez aujourd'hui une grande affection et une étroite proximité de l'Eglise et du peuple italien au Pape et à vos prêtres qui prennent quotidiennement soin de vous, pour que dans l'engagement de renouveau spirituel et moral, nous puissions toujours mieux servir l'Eglise, le Peuple de Dieu et ceux qui s'adressent à nous avec confiance".
Le Saint-Père a ajouté que "le véritable ennemi qu'il nous faut craindre et combattre est le péché, le mal spirituel qui, malheureusement parfois, contamine aussi les membres de l'Eglise. Nous vivons dans le monde, dit le Seigneur, mais nous ne sommes pas du monde et nous devons bien nous garder de ses séductions. Au contraire, nous devons craindre le péché et donc fortement enracinés en Dieu, solidaires du bien, de l'amour et du service. C'est cela que l'Eglise et ses ministres unis aux fidèles ont toujours fait et continue de faire avec un fervent engagement pour le bien spirituel et matériel des personnes dans toutes les parties du monde. C'est cela aussi que vous chercher à faire habituellement dans vos paroisses, vos associations et autres mouvements: servir Dieu et l'homme au nom du Christ". Il a enfin encouragé les fidèles à "suivre ensemble, avec confiance ce chemin, et que les épreuves que le Seigneur permet, nous poussent à une plus grande radicalité et cohérence. Je suis heureux de voir aujourd'hui cette multitude Place St.Pierre, tout comme il a été émouvant pour moi de voir à Fatima l'immense multitude qui, à l'école de Marie, a prié pour la conversion des cœurs. Je vous renouvelle aujourd'hui cet appel, réconforté par votre présence nombreuse. Merci!".
ANG/ VIS 20100517 (420)
Le Saint-Père a ajouté que "le véritable ennemi qu'il nous faut craindre et combattre est le péché, le mal spirituel qui, malheureusement parfois, contamine aussi les membres de l'Eglise. Nous vivons dans le monde, dit le Seigneur, mais nous ne sommes pas du monde et nous devons bien nous garder de ses séductions. Au contraire, nous devons craindre le péché et donc fortement enracinés en Dieu, solidaires du bien, de l'amour et du service. C'est cela que l'Eglise et ses ministres unis aux fidèles ont toujours fait et continue de faire avec un fervent engagement pour le bien spirituel et matériel des personnes dans toutes les parties du monde. C'est cela aussi que vous chercher à faire habituellement dans vos paroisses, vos associations et autres mouvements: servir Dieu et l'homme au nom du Christ". Il a enfin encouragé les fidèles à "suivre ensemble, avec confiance ce chemin, et que les épreuves que le Seigneur permet, nous poussent à une plus grande radicalité et cohérence. Je suis heureux de voir aujourd'hui cette multitude Place St.Pierre, tout comme il a été émouvant pour moi de voir à Fatima l'immense multitude qui, à l'école de Marie, a prié pour la conversion des cœurs. Je vous renouvelle aujourd'hui cet appel, réconforté par votre présence nombreuse. Merci!".
AUDIENCES
CITE DU VATICAN, 17 MAI 2010 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce matin en audiences séparées:
-Le Cardinal Angelo Bagnasco, Archevêque de Gênes et Président de la Conférence épiscopale italienne.
-Le Cardinal Péter Erdö, Archevêque d'Esztergom-Budapest (Hongrie) et Président du Conseil des Conférences épiscopales européennes, accompagné des Vice-présidents, le Cardinal Josip Bozanic, Archevêque de Zagreb (Croatie), et du Cardinal Jean-Pierre Ricard, Archevêque de Bordeaux (France).
AP/ VIS 20100517 (70)
-Le Cardinal Angelo Bagnasco, Archevêque de Gênes et Président de la Conférence épiscopale italienne.
-Le Cardinal Péter Erdö, Archevêque d'Esztergom-Budapest (Hongrie) et Président du Conseil des Conférences épiscopales européennes, accompagné des Vice-présidents, le Cardinal Josip Bozanic, Archevêque de Zagreb (Croatie), et du Cardinal Jean-Pierre Ricard, Archevêque de Bordeaux (France).
AP/ VIS 20100517 (70)
AUTRES ACTES PONTIFICAUX
CITE DU VATICAN, 17 MAI 2010 (VIS). Le Saint-Père a nommé le Cardinal Giovanni Battista Re, Préfet de la Congrégation pour les évêques, son Envoyé spéciale au IV centenaire du diocèse d'Arequipa (Pérou, 14 - 18 juillet).
NA/ VIS 20100517 (50)
NA/ VIS 20100517 (50)
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